International e-sailing team
Since 2013
À propos
Equipe de voile virtuelle depuis 2013, nous navigons sur Virtual Regatta!
Nous sommes soutenus par The Sea Cleaners Swiss et nous les supportons aussi bien entendu! Vous aussi, protégez les océans et agissez pour la planete.
Association loi 1901
Extaz Sea est une Association loi 1901. Nous promouvons la voile au travers des jeux notamment.
Nous recrutons!
e-sailors, cuistos, pirates, developpeurs, designers... Si tu possèdes une piscine et des 🦩 gonflables, tu es le bienvenu!
Plus de 70 membres
Notre équipe dénombre plus de 70 membres aux profils et implications variés.
#4 au classement VSR de Virtual Regatta
Après avoir été 1er, dans notre infinie bienveillance, nous laissons un peu la place aux autres.
Réalisations
Nos héros
Good Hope Dash 2025 - moins nombreux que les mouettes mais plus rapides que les sardines !
2025-10-02
La première étape du défi de l’Océan Indien s’annonçait comme un grand classique : 940 milles de montagnes russes météo. Bref, tout ce qu’il faut pour tester la patience de nos skippers virtuels.
Mais la vraie épreuve n’était pas en mer : elle était sur Discord. Réunir une équipe au départ de Bonne Espérance était visiblement plus compliqué que d’affronter un grain au large de Durban. À 9h pétantes, seulement 8 valeureux volontaires. Un record… mais dans la catégorie “mini club de pétanque du dimanche matin”. Heureusement, 7 autres EZ se sont souvenus qu’ils avaient un bateau quelques minutes avant le départ. Miracle, notre flottille ressemblait enfin à quelque chose.
Malgré ce casting digne d’une répétition baclée l’exploit était au rendez-vous :
- Serge (MTZ8493) s’offre une honorable 14ᵉ place.
- Pascal (Mohan) accroche la 22ᵉ position, ce qui prouve qu’avec un bon GPS et beaucoup de patience, on peut quand même rentrer à Durban sans trop rayer la coque.
Et contre toute attente, notre commando EZ, réduit mais coriace, hisse la team sur la 4ᵉ marche du HOF. Comme quoi, même avec un effectif de poche, on peut faire trembler les gros bras.
Moralité : la prochaine fois, il faudra être plus nombreux, mieux préparés… et pourquoi pas plus sobres la veille du départ.
Le CR de Serge :
La Good Hope Dash proposait une petite course entre Cap Town et Durban.
Dés mes premiers routages, elle ne s’annonçait pas aussi facile que l’on pouvait le penser :
- Parcours assez simple, sans aucune marque mais avec une météo nous obligeant à passer au large de Knysna (ville de la province du Cap-Occidental en Afrique du Sud, très mauvais souvenir de 2010).
- Les consommables qui sont devenus une partie non négligeable de la stratégie pourront sans nul doute compter aussi pour la gagne.
Comme attendu, la descente vers Bonne Espérance se fait au raz des côtes. Je choisi d’éviter le dernier contre bord ce qui s’avèrera perdant pour finir. J’ai perdu un peu d’eau mais rien de terrible je suis au contact de la tête de course. Depuis quelques temps, j’ai pris l’habitude de prendre les consommables le plus tôt possible de manière à faire le maximum des premières manœuvres à 100% de stamina et cela permet aussi de retrouver les droits plus tôt.
La traversée de False bay s'effectue sans problème et l’approche du cap des Aiguilles se fait également au raz des côtes avant de prendre un peu le large. Sur cette boucle de transition, il n’est pas facile de se situer par rapport à la concurrence d’autant que j’ai pris une route un peu plus au sud.
Le deuxième jour de course nous rapprochera de l’Afrique du Sud avant de se poursuivre par une série de bords pour remonter le vent avant d’entamer le final. Il faut bien gérer pour se positionner au mieux et, pour ma part, je préfère choisir l’angle des vents à leur force.
A l’entame du troisième jour, je suis bien installé dans le top 20 et je me fixe comme objectif de terminer dans ce groupe.
Je vire assez tard pour l’avant dernier gybe et je rentre dans le top 10 avec les leaders sous mon vent. J’hésite pour le dernier gybe, attendre qu’ils virent et suivre ou anticiper légèrement. Finalement j’anticipe de 2 minutes mais c’était sous doute le mauvais choix. Je suis 6ème mais, dans mon Est, ils peuvent accélérer avant moi. Je suis pris à mon propre jeu et je ne pourrais pas rentrer dans le top 10 mais pire je terminerai 15ème . Je reste le plus longtemps possible au 130 pour profiter de la bosse dans la polaire. Sem la Guédonne me passe tout proche de l’arrivée mais elle reste sur la trajectoire de son WP. Pour ma part, j’ai préféré passer en voile manuelle et poser un second WP dans la même minute pour passer au 121 et raccourcir la distance. Bonne stratégie car je repasse devant pour finir 14ème.
J’ai adoré me prendre la tête dans la gestion des bords et des consommables. Comme il m’arrive parfois d’être perfectionniste, je regrette un peu mes 2 petites erreurs mais c’est toujours tellement plus facile à dire après. C’est donc mon second top 15 en 2 courses, ma seconde victoire team et j’en suis très content. J'ai essayé de faire un CR plus long qu'un ticket de métro et je souhaite vous faire partager dans ces quelques lignes toute ma fierté d'être au sein de la team EZ et de faire un bout de route avec vous.
Globe40 2025 Etape 1 (Cadix - Cap Vert) - l’audace s’égare, le Top 10 encaisse
2025-09-21
“Quand t’as 23 gugusses sur la ligne, tu peux bien en perdre la moitié dans les sargasses.”
Sur Virtual Regatta, il y a deux écoles : ceux qui tracent au cordeau façon fonctionnaire des douanes maritimes le long de la côte africaine. Et ceux qui, gonflés à la caféine et à la mauvaise foi, décident de “tenter des routes créatives” (traduction : tenter des trucs zarbis que même nos routeurs très permissifs refusent de calculer.
Heureusement, dans la team EZ on a les deux. Avec 23 skippers (dont 2 PDD courageux qui rament avec des cuillers à soupe) on peut se permettre de sacrifier quelques brebis galeuses à l’Ouest sans flinguer le classement HOF.
Résultat ? Un petit groupe d’EZ kamikazes est parti explorer des routes improbables pendant que le reste plongeait Est, histoire de faire croire qu’ils savaient ce qu’ils faisaient. Puis, au passage des Canaries, la flotte a réussi l’exploit de se scinder encore une fois : certains par l’Est d’autres par l’Ouest de Las Palmas, bref un joyeux bordel digne d’une AG de copropriété.
Et pourtant… miracle !
- Vinz (RedPepper) nous sort une 17ème place : apparemment, c’est possible de gagner des places sans tout envoyer par-dessus bord.
- Thierry (maelian44), 23ème, prouve qu’il existe une vie après les détours inutiles.
- Greg (Maverickk), 26ème, démontre que son Top Gun marche aussi en mode pépère dans les alizés.
Mais la vraie claque c’est notre Top 10 compact et solide comme une boîte de sardines de Cadix. Il offre à la team EZ une superbe 2ème place au HOF. Pas mal pour une bande de marins virtuels capables de se perdre entre deux clics de souris.
👉 Moralité : dans la Globe40 ce qui compte c’est d’arriver assez groupé pour faire croire qu’on a suivi un plan.
The Ocean Race Europe 2025 Etape 5 – Le compte rendu de Serge
2025-09-19
Je vais me lancer dans un compte rendu qui sera plus long qu’un ticket de métro.
Je suis parti sur cette leg 5 de l’Océan Race Europe avec la ferme intention d’essayer d’améliorer mon classement général. En amont, j’ai bien travaillé avec Jean-Claude (alias tigrou26120-EZ) afin d’affiner au maximum les réglages du de son routeur. Sur cette étape, il a été mon routeur principal même si, comme d’habitude, je l’ai comparé avec les routages zezo, VR Zen et "Que la force soit avec toi".
Le départ est assez conforme aux prévisions. La mise à jour du 18Z du 08/09 propose une route plus à l’Ouest qu’initialement. Tous les routages précédents ayant une tendance Est, j’y vais tardivement et modérément. Le lendemain matin la route repars à l’Est et propose un contre bord après le passage de Golf.
La descente vers Hôtel est sans surprise. La course va se jouer peu après cette marque. Un petit groupe de bateaux va virer assez tôt en direction du sud de la Sardaigne. Pour ma part, c’était évident car les 4 routeurs étaient OK sur cette route. Jélavoile, qui est légèrement en retard, va anticiper ce virement et nous ne le reverrons plus. Les vents lui seront pratiquement toujours favorables en force et en direction.
La route en direction d’Ustica n’est pas simple mais le groupe de 13 bateaux en tête a pu se constituer une avance confortable. Je suis 8ème.
Au passage de la porte et lors du contournement de l’île d’Ustica, je me fais doubler par Arylla. Sa pose de WP est tout simplement extraordinaire. Je passe la porte avec 0.4mn d’avance et ressort avec 0.5 mn de retard. J’ai beau tout essayer, je n’arrive pas à poser mieux mes WP. C’est frustrant mais c’est ainsi. A la navigation, je reviens sur lui mais au passage de Punta Sottile, il creuse à nouveau l’écart. Je suis 9ème.
Une zone de forte pétole barre la route de Sicily Gate et nous oblige à un large détour par le sud jusqu'à pratiquement frôler Malte. Trente minutes avant la mise à jour 12Z du 11/09, je vois Jélavoile virer assez tôt. J’ai l’impression que c’est une bonne idée mais je n’ose pas suivre sa trace. C’est un tort car le routage suivant remonte la route vers le nord. Au passage de Sicily Gate, Bro-Naoned est passé avec un léger retard sur mon bateau mais il a pu virer plus tôt et raccourcir la distance. Je suis 10ème.
India et Juliet sont passés en petit train et les écarts se creusant à cause de vents toujours favorables pour l’avant. La fin de course est sans possibilité de modifier le classement et je franchi l’arrivée à la 10ème place.
Je suis très content de ma course qui me donne une belle victoire team. Je me suis bien amusé en faisant mes routages, en jouant avec les réglages du Tigrouteur et de "Que la force soit avec toi". Il y a un moment que je n’avais pas pris autant de plaisir sur une course.
The Ocean Race Europe 2025 Etape 5 – Le bilan des bilans
2025-09-15
A défaut de disposer d’un compte rendu triomphal du vainqueur EZ de la 5ème et dernière étape (le texte reçu était si mince qu’il aurait pu tenir sur un ticket de métro composté) on passe directement à la grande rétrospective.
L’Ocean Race Europe c’était 5 étapes réparties en deux catégories 2 et trois catégories 3. Une logique qui échappe à tout marin normalement constitué, un peu comme l’humeur de notre chat mascotte : imprévisible, impénétrable et parfois agressif sans raison.
Ironie du sort, c’est justement la 5ème étape, classée « catégorie 3 » qui fut la plus longue et la plus corsée. Merci VR pour ce système de notation aussi clair qu’un avis de taxes foncières.
La force du nombre
Grâce aux FP offerts par The Sea Cleaners, la team a pu lâcher sur l’eau une véritable flottille : 39 skippers différents ont pris part à au moins une étape, soit 154 participations au total. Résultat : un top 10 toujours bien garni et la possibilité de tenter des coups de poker sans mettre en péril l’image de la team. Exemple : François (tchoa860) sur la première étape ou Serge (MTZ8493) sur la dernière, nos deux héros des manœuvres kamikazes.
Classements en mode montagnes russes
Étape 1 : 1ère place (merci François pour l’exploit !)
Étape 2 : 4ème place (ah, les côtes ibériques… ces aimants à voiliers malheureux).
Étape 3 : 3ème place (Merci Jean-Claude, alias tigrou26120).
Étape 4 : 3ème place bis (Merci Bruno, alias DDEUX).
Étape 5 : 2ème place (Bravo Serge pour son virement précoce dans les 1ères heures de la course).
Au cumul, la team termine 2ème, derrière l’INC qui nous colle environ 180 points dans la vue. Les BSP profitent de la dernière étape pour chiper la 3ème place à la team PVe.
L’ambiance à bord
Le coach se dit ravi des performances et surtout des échanges enflammés sur Discord. Mention spéciale aussi aux publications sur les réseaux sociaux, qui ont mis en avant la cause de notre sponsor, prouvant que la voile virtuelle peut aussi servir à autre chose qu’à procrastiner devant Excel.
Et maintenant ?
Cap sur la prochaine grande joute : la Transat Café L’OR Le Havre Normandie à partir du 26 octobre 2025. Préparez vos voiles, vos FP et vos thermos de café (à l’or si possible). Les écrans de Virtual Regatta vont à nouveau se teinter de bleu ciel…
Figaro 2025 – Étape 1 : Attention à l’indigestion !
2025-09-11
La 56ème édition de la Solitaire du Figaro s’annonçait corsée, avec une boucle jusqu’au Fastnet. Finalement, météo capricieuse oblige, tout le monde est resté en Manche. Un peu comme si on avait promis un banquet gastronomique et qu’on servait des sandwiches SNCF à la place. Heureusement, une petite poignée de courageux EZ a répondu présent. Les autres étant encore coincés en Méditerranée à regarder leurs Imocas se traîner avec la grâce d’un pédalo en panne.
🎉 Le héros du jour s’appelle Jean-Claude (Tigrou). Il a bondi tout en douceur sur une très honorable 8ème place. On ne sait pas si c’est son flair ou ses moustaches qui l’ont guidé mais le résultat est là.
👏 Derrière, Gégé (Gameuro 974) s’offre une honorable 65ème place. Il démontre qu’on peut pédaler en Méditerranée et barrer un Figaro en même temps. Quant à Pascal (Mohan), il termine à la 98ème place, démontrant qu’il est possible d’être dans le Top 100 sans vendre son sommeil.
Mais l’événement dans l’événement reste ce calendrier VR, véritable buffet à volonté de régates virtuelles : Ocean Race, Figaro, Globe40, Mini Transat, Round Britain… En huit mois, 65 courses ont été servies aux joueurs. De quoi donner une indigestion plus sévère qu’un concours de choucroute à Munich. Et comme il faut bien un coupable : 🏆 le prix Goudron et Plumes est attribué à celui qui gère ce calendrier infernal. Merci à lui de penser à nos nuits blanches et à nos conjoints qui finissent par se demander si “Virtual Regatta” est vraiment une appli… ou une maîtresse.
En attendant, place à la deuxième étape. Direction Vigo, avec un long détour par le Golfe de Gascogne. Promis, cette fois, ça devrait ressembler à une vraie étape.
Globe40 2025 Le Prologue : “À Groix rien de neuf… sauf des rillettes de crabe !”
2025-09-08
Mobiliser une équipe de skippers virtuels pour un prologue, c’est un peu comme convaincre ses ados de ranger leur chambre : mission quasi impossible. Entre les marins EZ qui digèrent encore les pièges méditerranéens de l’Ocean Race Europe, ceux qui jouent à la garderie improvisée dans leur maison de campagne ou les autres partis en Norvège, il fallait s’attendre à un prologue façon commando.
Et pourtant, miracle : 15 irréductibles EZ ont répondu présent. Sans goudron ni plumes, sans orties piquantes du jardin de Kaly. Un vrai exploit diplomatique.
Faux départs et troquets
Tout avait pourtant mal commencé : VR ayant la finesse organisationnelle d’une SNCF en grève, la flotte EZ s’est retrouvée échouée à Groix, ses skippers errant comme des zombies marins. Heureusement, Port Tudy offrait une consolation : bière locale et rillettes de crabe. Autant dire que certains auraient bien fait du prologue un afterwork permanent.
Après deux faux départs (31/08 puis 02/09), la délivrance survint enfin le 04/09 à 16h00. Larguez les amarres, et cap au 205°, voile manuelle, pour un skipper-coach qui décidément prend la vie simplement : un petit bord droit devant, aile de mouette au petit-déj, et hop, direction le cap Finistère.
Le peloton soudé… sauf Lipinski
Passage du cap Finistère le 05/09, tout en empannages serrés entre côte et zone d’exclusion. Résultat : une flotte EZ aussi compacte qu’une boîte de sardines bretonnes (1,3 mn entre le premier et le dernier). Seul Ian Lipinski, sur Crédit Mutuel, s’est offert un numéro d’équilibriste en creusant un gros écart. Probablement qu’il carbure aussi aux rillettes.
La route du large
La vraie bagarre commença au large du Portugal. Pendant que certains se collaient à Lisbonne comme des touristes en city-trip, le coach des EZs choisit le large, mais bien serré à l’est. Une option osée, mais qui paya cash : empannage 2 mn devant le peloton et la victoire en patron. Comme quoi, parfois, un peu de géométrie maritime fait mieux que dix clics sur le pilote auto.
Bilan d’étape
Une course “très reposante” selon l’intéressé (les mauvaises langues disent qu’il a même eu le temps de tondre sa pelouse entre deux empannages).
Mais au classement ce fut tout sauf reposant :
- Top 3 EZ dans le top 10 VR. Bravo à mes acolytes : JF (alias Ven2Bou, 7ème) et Eric (alias C&MtoTw, 8ème), qui ont tenu la barre avec panache ! ;
- Top 10 EZ dans le top 65 VR.
Mais… seulement la 2ème place au classement HOF car les PVe ont sorti le rouleau compresseur : 4 bateaux dans le top 10, 7 dans le top 30. Chapeau !
Rendez-vous sur l’étape suivante, cette fois avec plus de vent, moins de faux départs… et sans doute moins de rillettes.
Honolulu – Yokohama 2025 : Sœur Anne ne vois-tu rien venir ?
2025-09-03
Le record Honolulu-Yokohama, c’est un peu comme guetter le facteur un lundi matin d’août : on sait qu’il finira bien par passer, mais on ne sait jamais quand, ni avec quoi.
Sur Virtual Regatta, ce genre de record repose sur un principe simple : attendre la fenêtre météo parfaite. Ce qui, traduit en langage terrien, signifie fixer compulsivement les cartes pendant trois jours, sept jours, voire une vie entière, en espérant qu’une dépression bien intentionnée se décide à souffler dans le bon sens.
Cette année, les cartes météo ressemblaient plus à un tableau impressionniste qu’à une route de course. Impossible d’apercevoir la moindre trace d’une opportunité digne des éditions précédentes. Bref, une loterie sans gagnant.
Face à ce désert de certitudes, un seul courageux a eu l’audace – ou l’inconscience – de se lancer : Serge (alias Pirond). Parti tôt, arrivé tard, mais arrivé quand même. Après 9 jours et 6 heures de navigation patiente, il boucle son périple avec… deux jours de retard sur son temps de l’an dernier.
Le podium EZ a donc été rapidement réglé : une marche, un vainqueur, personne pour lui disputer la médaille. Et comme dirait Sœur Anne en scrutant l’horizon : « je ne vois rien venir… mais au moins, je vois Serge arriver ! »
Bravo à lui. 👏
The Ocean Race Europe Étape 4 : un tour de Corse d’une rare complexité (et de nombreux cafés serrés)
2025-09-03
Au départ de Nice 31 bateaux EZ ont arboré leurs élégantes voiles bleu ciel "The Sea Cleaners", histoire de rappeler que même virtuellement, on préfère naviguer propre plutôt que de laisser traîner ses canettes de bière dans la Méditerranée.
Le coach, ravi de l’ambiance studieuse sur le Discord et des débats houleux sur les terrasses de cafés niçois, a même déclaré : « C’est la première fois que j’entends parler de stratégie à 8h du matin entre un expresso et un croissant. »
Le podium du bar - photo souvenir prise par Oizo06 (de la team des Barjots Pirates), où l’on distingue de gauche à droite :
- Patrick (Dragonfly Express, LSV) : toujours premier à commander une tournée ;
- Bertrand (Cdt Mitchell, EZ) : il a choisi la place centrale pour ne pas rater le plateau de cacahuètes ;
- Pierre (Kah Yu, PVe) : qui, fidèle à sa réputation, est déjà premier dans la course au comptoir.
La course : Tino Rossi en DJ météo
Les 4 grandes teams (INC, PVe, BSP, EZ) se sont livré une bataille serrée. Comme l’a résumé Fab, notre chroniqueur maison : « En Méditerranée, le vent change plus vite qu’un refrain de Tino Rossi. À l’heure de l’apéro, tu crois tenir le bon cap… à la fin du verre, tu es déjà hors-jeu. Moralité : si tu travailles la journée, autant laisser ton bateau en mode économiseur d’écran. »
Les résultats :
Malgré les pièges corses et les rafales capricieuses :
- Bruno (DDeux) termine 6ème, preuve qu’il n’a pas lâché l’écran (ni le café) une seconde ;
- Vinz (RedPepper) se place 16ème, un poil relevé mais pas trop pimenté ;
- Bertrand (Cdt Mitchell) 26ème, juste à temps pour l’happy hour.
Au total, 10 EZ dans le top 50 et 17 dans le top 100 : une performance collective solide mais insuffisante pour éviter la 3ème marche du podium HOF. Les INC et les PVe s’installent devant confortablement, comme s’ils avaient réservé leur transat dès l’aube.
Clap de fin :
Merci à notre partenaire The Sea Cleaners, à qui on dédie ce tour de Corse qui restera dans les annales… et dans les carnets de consommation des cafés du Vieux Port.
Rendez-vous pour la 5ème et dernière étape, où la team EZ promet de garder le cap… sauf si l’apéro démarre trop tôt.
Cerise sur le gâteau : le CR de DDEUX
Le départ nous envoie plein sud pour éviter une pétole qui semble bien ancrée au large d'Ajaccio. On la surveille de près pour savoir s'il faut rallonger ou raccourcir la louche, mais elle est stable, les routages s'avèrent fiables.
Puis c'est une série de virements qu'il faut astucieusement gérer avec la stamina et les consommables. La gestion des consommables est un vrai casse-tête: il faut anticiper la prise suivante pour savoir si ca vaut le coup de consommer tout de suite ou plus tard, mais le café et la box ne peuvent être reprise que 24h après, et 24h de météo en méditerranée, c'est de la divination. La bouée Lavezzi s'annonçait très sud, puis au raz de la bouée. Finalement, il a fallu l'enrouler pour chercher une route au nord et rejoindre la bouée Echo.
Remontée assez directe plein nord jusqu'à Foxtrot. Pas de réelle option. Je choisis une route légèrement à l'EST qui s'avère équivalente à la route majoritairement choisie par le reste de la flotte.
Puis c'est le drame, sortie de Foxtrot, une météo totalement différente de la précédente nous propose 2 routes: une nord et une sud, très proches en ETA à la bouée Gallerina, mais avec tout de même plus de 2h de retard sur le routage de la météo précédente. Je choisis au nord car la route semble légèrement meilleure, mais avec une bouée à enrouler à 360 degrés contre 180 pour la route sud.
Après le 360 autour de la bouée boosté par les consommables, un nouveau routage propose un contre bord ouest-nord-ouest, ce qui est à l'exact opposé de la cible à atteindre. Le routeur semble vouloir éviter très largement la pétole qui barre la route directe, et suivre les vents de travers et au portant. 2 gybes de plus ! Après une rapide réflexion, je décide d'y aller même si aucun bateaux de la tête n'y va. C'est seulement 10 min plus tard que d'autres skippers me rejoignent. Ce contre bord me remet bien dans la tête de la course.
La dernière bouée est un enfer pour moi. J'ai un routage qui m'envoie sur une route plein ouest alors que beaucoup de la flotte part au nord-ouest. Finalement, dans le top 10 une majorité prend ma route. Mais mon routeur veut absolument m'envoyer rejoindre le groupe au nord, avec un changement de voile. Je bataille pour garder mon routage sud, mais je n'y arrive pas. Finalement, je trouve une route un peu intermédiaire, ce qui me fait perdre le top 5, voire le podium.
Ce fut une course très intense, fatigante physiquement et moralement, mais plein d'enseignement.
Merci à toute l'équipe pour les échanges et au sponsor The Sea Cleaners Swiss pour le bateau le plus beau de VR et le mieux équipé.
Hyper Sail GP #02 – On fait le maximum avec le minimum
2025-08-30
Partis de Tahiti le 14 août avec un bateau qui ressemble plus à un prototype de Lego Technic qu’à un voilier, nos dix EZ ont tenté l’aventure : rallier La Réunion avant la date fatidique du 2 septembre. Pas une mince affaire avec le fameux Ferrari Hypersail, ce machin imaginé par Verdier, mélange improbable d’AC75 sous stéroïdes et d’IMOCA sous calmants. Bref, un bateau pas fini… mais déjà lancé !
Comme prévu, la course n’était pas « prioritaire » pour la team EZ. Comprendre : trop longue, pas le bon support et surtout pas assez de terrasses ombragées pour poser un apéro en chemin. Mais qu’importe : 10 skippers se sont tout de même jetés à l’eau, histoire de cocher la case « HOF » avec le strict minimum réglementaire.
Chez les mieux équipés (full options, minibar réfrigéré et coussin lombaire pour la longue traversée), l’affaire fut vite pliée :
- Gégé (gameuro 974), toujours aussi rapide quand il navigue à domicile dans l’océan Indien, termine 4ème.
- Bruno (Gwened56) accroche un top 10 avec une jolie 9ème place.
- Michel (SuperZombi) arrive 17ème, preuve que même les morts-vivants savent gérer les foils.
Mais la médaille du mérite revient à nos skippers PDD – Serge (Pirond), Patriste (Marius Jacob) et Nicolas (R’Minonne76) – qui ont bravé la traversée avec pour seul luxe… des foils en plastique recyclé. Leur patience a permis de valider le classement HOF même si entre-temps les premiers étaient déjà en train de siroter un rhum arrangé au Barachois.
Au final, mission accomplie : la team EZ reste dans le coup avec le minimum vital. Et pendant que le Ferrari Hypersail continue de chercher sa classe d’accueil, nos skippers ont prouvé qu’ils savent faire beaucoup avec peu !
Étape 3 de l'Ocean Race Europe : Méditerranée, pièges et félins indisciplinés
2025-08-28
La troisième étape nous a emmenés de Carthagène à Nice, autrement dit : des tapas à la socca. Sur le papier, ça semblait simple. En réalité, c’était une autre histoire : petits airs vicieux, transitions qui claquent comme des portes mal huilées et surtout des options contradictoires à n’en plus finir. Bref, un vrai labyrinthe flottant qui met en évidence un problème de fond : il y a trop de bretons dans la team EZ !. Or, la Méditerranée n’a rien d’un golfe du Morbihan géant. Ici, pas de marée, pas de houle rassurante mais des vents lunatiques qui apparaissent et disparaissent comme des Pokémon sauvages.
Les voix des skippers :
Jean-Claude alias Tigrou (7ème) : Toujours aussi combatif, il a joué des moustaches et presque inquiété Kah-Yu, le surfeur des flots qui semble marcher sur l’eau en ce moment (et accessoirement sur le moral des autres).
Mais Tigrou a aussi révélé la vérité : s’il ne pourra pas faire l’étape 4, c’est parce que son salon est devenu une garderie non-stop. Quand il ne gère pas un virement de bord c'est qu'il négocie une sièste réparatrice. On comprend pourquoi il ne dort plus.
Bruno alias Gwened56 (17ème) : Son témoignage est poignant : "Je m’en sors plutôt bien malgré un gros bug du routeur tigre lors du 18Z du 27/06." Traduction : quand ton logiciel préféré décide de te faire passer par la Corse en marche arrière...
Arnaud alias UUNet (20ème) : Toujours modeste, il résume son épopée en une seule ligne : "Je sauve l’honneur du routeur R2D2." Merci, Arnaud, la galaxie EZ t’est reconnaissante.
Le coach, ravi mais fatigué : Avec 33 joueurs au départ, le coach jubile : "Merci à notre partenaire The Sea Cleaners : du bleu partout !" En revanche, il faudra penser à organiser une campagne contre les chats mascottes. Plusieurs joueurs jurent avoir raté des empannages décisifs parce que Minou s’est allongé pile sur la barre espace. Et contre ça on ne peut rien.
Bilan : Une étape méditerranéenne pleine de nœuds au cerveau, de bugs et de félins indisciplinés. Mais malgré tout, une team EZ nombreuse, soudée… et qui se hisse sur la 3ème place du HOF. Bravo à tous et rendez-vous sur l'étape 4 !
New York – San Francisco 2025 : service minimum garanti
2025-08-25
Il paraît que 4932 skippers courageux (ou inconscients) ont réussi à tirer leur Maxi 100 de New York jusqu’à San Francisco. Un parcours interminable où l’on finit par connaître chaque goéland par son prénom, et où le café devient une denrée stratégique plus rare que le vent favorable.
Chez les EZ, on n’a pas voulu en faire trop : le comité syndical des doigts usés sur la souris avait décrété la grève du zèle. Résultat ? Service minimum ! Trois valeureux capitaines seulement ont franchi le Golden Gate sans remorquage :
- Ivan (Ultrine), qui a posé fièrement son étrave à la 75ème place : une belle descente, un savoir faire acquis en écumant les bars du Morbihan ;
- Serge (Pirond), 286ème, qui a visiblement passé autant de temps à naviguer qu’à préparer l’apéro ;
- Denis (Pyrrhus), 714ème, toujours fidèle à son style : arriver certes, mais avec panache et un peu de retard pour ne pas froisser les copains devant.
Et puis il y a François (tchoa860)… Parti avec les meilleures intentions, mais victime d’un contretemps. Il lui a manqué 24 heures pour rallier San Francisco. On attend encore le communiqué officiel : panne de GPS ? Escale prolongée chez Starbucks ? Ou tout simplement une petite sieste qui a duré un peu trop longtemps…
Bref, un record “à la cool” pour les EZ : moins nombreux, mais toujours présents. Après tout, l’important n’est pas de participer… c’est d’arriver avant la fermeture du bar. 🍹
Palermo-Montecarlo - Du goudron et des plumes
2025-08-22
C’est une flottille « dispersée façon puzzle » qui s’est alignée au départ de cette course méditerranéenne. On aurait dit un lâcher de bouchons de liège après une fête au Prosecco : ça partait dans tous les sens.
Sur les 11 valeureux matelots engagés, seule la moitié (5 pour être précis) a eu le courage de remplir le sondage d’avant-course. Les autres ont préféré garder le mystère, sans doute dans l’espoir que le coach ferme les yeux… Mauvais calcul ! Car le coach, impitoyable, a déjà prévu de sortir la traditionnelle sanction : goudron maison et orties fraîchement fauchées dans le jardin de Kaly. Et encore, c’est la version « light » du châtiment collectif.
Le podium EZ façon Palerme :
gameuro 974 (15e) : une belle place d’honneur, récompensée par un seau de goudron et quelques orties en guise de bouquet.
Cdt Mitchell (23e) : fidèle au poste… au poste de goudronneur attitré.
Mohan (29e) : déclaré grand vainqueur moral, car c’est le seul EZ FP qui a pris la peine de remplir le sondage. Rien que pour ça, il décroche la couronne de lauriers… en plastique recyclé.
C&MTT0tW (60e) : excuse officielle : « Je ne sais pas dire non à mes petits camarades ». Dommage qu’il n’ait pas dit non au classement qui le relègue dans les tréfonds.
maelian44 (96e) : un peu loin, mais heureusement il reste du goudron pour tout le monde.
Marius Jacob (219e) : premier PDD, bravo ! Mais dans le sondage, il ne savait pas trop s’il partait ou pas. Résultat : prix spécial « goudron et plumes » pour incertitude stratégique.
Bref, entre Palerme et Montecarlo, ce fut moins une régate qu’une grande loterie. Mais qu’on se rassure : le coach prend bonne note des absents au sondage, et les orties piquent toujours aussi fort.
Etape 2 de l'Ocean Race Europe : A Lisbonne les adversaires ont pris la côte nous on a pris la claque !
2025-08-22
Pour cette deuxième étape, on peut dire qu’il y avait foule sur les pontons : la Team EZ était au complet, brushing impeccable et cirés fraîchement repassés. Même quelques vacanciers, encore sablés de crème solaire, ont enfilé leurs bottes de pont pour leur première course de l’année. Avec les voiles bleu ciel offertes par notre partenaire The Sea Cleaners, impossible de nous louper : on aurait presque cru voir une escadrille de schtroumpfs filer vers le large.
Le parcours, sur le papier, ressemblait à une balade digestive :
- un petit coucou à la Manche et à Ouessant ;
- une traversée express du golfe de Gascogne ;
- un rase-mottes au Cap Finistère ;
- un selfie à la bouée de Porto ;
- et enfin une petite glissade par Gibraltar avant la remontée vers Carthagène.
Seulement huit petites zones d’exclusion…, à croire que les organisateurs ont voulu nous laisser un peu de liberté... Mais comme souvent, Neptune a trouvé la situation trop calme et a décidé de mettre un peu de piment. Résultat : des vents capricieux et mal orientés.
Tout s’est joué au large de Lisbonne. Pendant que nos leaders, confiants, tapaient la bavette avec les dauphins du large, les adversaires en ont profité pour jouer les équilibristes près des côtes. Et hop, deux à trois minutes perdues à Gibraltar. Autant dire, dans le monde virtuel, un gouffre intersidéral.
À l’arrivée, le podium EZ a eu comme un goût de “peut mieux faire” :
- Bruno (Gwened56) en 17ème position, discret mais efficace ;
- Fab (juraEZic) et Éric (C&MTotW) dans son sillage.
le reste du top 10 dans les 50 premiers, histoire de sauver l’honneur et surtout une 4ème place au général (3185 points).
Mais voilà, en face, ça carbure : INC (3469 points), BSP (3440) et PVE (3295) n’ont pas traîné en route. Nous, on se console en se disant qu’au moins, on a fait sourire les poissons avec nos grandes voiles bleu azur.
Bref, étape passable pour la Team EZ, mais on a compris la leçon : pour la prochaine il va falloir surveiller de près nos adversaires et surtout parler stratégie autrement qu’au moment de l’apéro.
Après tout… une belle voile, c’est bien ; une belle victoire, c’est mieux.
Bombay Quest 2025
2025-08-17
Il fallait être sacrément motivé pour embarquer sur cette longue traversée entre l’Afrique du Sud et Bombay. Un parcours d’école : nouvelles polaires d’Imoca, météo capricieuse et Océan Indien prêt à faire tourner les routages en curry madras.
Dès le départ, un choix cornélien s’est imposé :
👉 Passer à l’Ouest de Madagascar par le canal du Mozambique (option dite “cabotage prudent mais surveillé par les dauphins somaliens”) ;
👉 ou filer à l’Est de Madagascar (option dite “road trip vers l’Australie, retour non garanti”).
La flotte EZ, pas folle, a mis le clignotant à gauche et pris le canal du Mozambique, serrée comme un convoi de camping-cars sur la route des vacances. Groupés, solidaires, bien décidés à rester ensemble, nos 12 courageux skippers ont avalé les 12 jours de traversée sans se perdre de vue.
Pendant ce temps, les adversaires téméraires — Double Scotch, Grand Gennaker et LAKOUSENTETE — ont tenté le coup de poker par l’Est. Résultat : 24 heures de route négative en direction de l’Australie. On pensait les retrouver en train de faire du surf à Perth, mais non : ils ont fini par recoller et claquer un exploit. Respect éternel à ces marins kamikazes qui ont prouvé qu’en Virtual Regatta, même l’impossible peut parfois marcher (au prix de quelques nuits blanches et d’un stock de café évaporé).
🎉 Le podium EZ :
🥉 Momo (M63), 9ème — l’art de rester discret mais d’arriver en costaud.
🎖 Bertrand (Cdt Mitchell), 11ème — il a laissé filer un Italien (Corsaro Nero) devant lui, ce qui va nécessiter une enquête interne.
🏅 Gégé (gameuro 974), 12ème — solide comme toujours, même sans rhum arrangé à bord.
Les autres full pack n’ont pas démérité et terminent groupés dans le top 20. Bref, une belle moisson collective... mais avec un goût de “si seulement on avait été plus nombreux, on aurait fait un carnage”.
Conclusion :
La Bombay Quest 2025 aura tenu toutes ses promesses — du suspense, des coups de poker, un canal du Mozambique transformé en autoroute maritime, et un final groupé en mode “EZ express”. Prochaine étape : apprendre à pimenter nos routages à l’indienne, parce qu’à Bombay, un skipper sans curry, c’est comme un Imoca sans foils.
Hong Kong – Londres : la balade polaire pour marins masochistes
2025-08-16
Ce record n’est pas une course comme les autres… en fait, c’est une épreuve d’endurance psychologique où VR a décidé de tester notre patience, notre routeur et nos nerfs.
Acte I : Hong-Kong – Détroit de Béring
Première étape : 6 à 7 jours pour remonter jusqu’au détroit. Autrement dit, 6 à 7 jours de montagnes russes nautiques où ton Ultim consomme plus d’énergie qu’un SUV dans un bouchon parisien. L’arrivée au détroit est vécue comme une délivrance : enfin la sortie du tunnel ! Sauf qu’en fait… c’est juste l’entrée du labyrinthe.
Petit bonus culturel : à droite, tu as la Sibérie, à gauche l’Alaska. Bref, c’est pile ou face. Tu choisis ton continent préféré, et tu pries pour que ton routeur n’ait pas bu trop de vodka ou de bourbon avant de calculer ton cap.
Acte II : Le tour du pôle Nord (alias “le gloup”)
Là, on entre dans la partie mystique : 4 à 5 jours de navigation “à l’aveugle”. À partir d’un certain point, plus d’affichage, plus de pingouins virtuels, juste le noir absolu. Tu cliques, tu traces, tu espères… et tu vérifies toutes les 3 heures si ton bateau ne s’est pas transformé en glaçon géant.
Acte III : Redescente vers Londres
La dernière ligne droite… sauf qu’elle est toute sauf droite. On redescend du pôle comme on descend d’un manège : un peu étourdi, en traversant plusieurs fois le méridien comme un sauteur à l'élastique qui ne sait plus s’arrêter. Et à chaque passage tu te demandes si tu n’as pas inventé une nouvelle danse arctique.
L’arrivée : le HOF au minimum syndical
Et pourtant… miracle !
La team EZ réussit l’exploit : 10 skippers arrivés pile poil, le quota minimum pour entrer au Hall of Fame. Dix héros givrés, dix survivants du gloup, dix marins capables de dire “j’y étais et j’ai encore des cristaux de glace dans la souris de mon ordi”.
Cerise sur l’iceberg : non seulement la team EZ s’offre le HOF, mais en plus sur une course de niveau 2, elle laisse ses poursuivants perdus entre la banquise et leurs factures de chauffage.
Bref, ce record Hong Kong – Londres restera gravé comme la croisière polaire des fous furieux où l’on ne gagne pas des milles mais des neurones congelés.
Etape 1 de l'Ocean Race Europe - Compte rendu d'un “coach heureux”
2025-08-14
L’année 2025 commence fort ! Pour l’étape 1 de l’Ocean Race Europe, la team EZ s’est présentée au complet, gonflée à bloc, prête à tout… sauf à passer inaperçue. Merci à notre partenaire The Sea Cleaners : avec nos voiles bleu ciel, on ressemblait à une escadrille de mouettes de compétition. Du bleu ? Partout. Sur toutes les options, à toutes les places, tout le temps … au point de rendre la mer monochrome. Les adversaires ont même dû se demander si Virtual Regatta n’avait pas activé le mode Schtroumpfs.
Et puis, au nord du Danemark, François (tchoa860) a sorti le coup de maître : un virement anticipé qui l’a propulsé devant les leaders. Résultat : il a filé le long de la côte ouest comme un kite-surfeur qui aurait trouvé le raccourci pour aller chercher ses croissants. Et comme on n’aime pas la solitude chez EZ, il y avait quatre copains dans son sillage : Norman (MAN971), Serge (Pirond), Ivan (Ultrine) et Fabrice (juraEZic), tous en mode “on reste devant et on les laisse galérer derrière”.
À l’arrivée, François décroche une brillante 2ᵉ place au général, juste derrière DYE70 (team BFC). Norman prend la 11ᵉ place et Fabrice la 19ᵉ pendant que le reste de la team s’incruste joyeusement dans le top 50, histoire de bloquer toutes les bonnes places au buffet.
Cerise sur la bouée : au Hall Of Fame, la team EZ écrase tout le monde. 3430 points, loin devant les INC (3224) et les PVe (3000). Une performance digne d’un manuel de tactique… ou d’un guide de squattage intensif de podiums.
Bref : une course où on a tout raflé, sauf la première place… juste pour rester modestes. L’étape 1 de l’Ocean Race Europe 2025 restera dans les annales comme un exemple de stratégie aboutie, d’esprit d’équipe… et de démonstration visuelle parfaitement coordonnée. Bravo à tous !
The Ocean Race Europe - Concours sur Instagram, LinkedIn et FaceBook
2025-08-07
Gagne 1 Full Pack avec le Skin exclusif EZ TheSeaCleaners pour la 1ère manche de The Ocean Race Europe
Dès le Go en Mer Baltique, mesure toi à armes égales avec les meilleurs e-Skippers de Virtual Regatta et bataille dans la Manche pour rester en tête jusqu'à Portsmouth !
Date du Départ : dimanche 10 août à 17h45
Pour participer :
- Like ce post ;
- Suis @extazsea et @theseacleaners ;
- T'as un(e) pote qui aime souffrir ? C'est le moment de le tagger !
Tirage au sort Samedi 09 aout 25. Good luck !
Le code FP vous sera transmis par MP.
Hypersail-GP1 : De la Bouillabaisse au Monoï, via 4 fuseaux horaires et demi
2025-08-06
Il y avait du rêve, un trimaran tout droit sorti d’un garage de science-fiction... et une team EZ pas franchement au taquet, mais poliment présente. C’est ainsi qu’a démarré cette traversée intercontinentale, destinée à tester ce que donnerait un AC75 croisé avec un IMOCA sous stéroïdes, autrement appelé le Ferrari Hypersail (note : voiture non fournie avec le bateau).
Banque Populaire XI relooké en prototype virtuel de Verdier — un truc qui vole, glisse, et accessoirement🥱, n’a pas encore été construit. Ce n’était pas un bateau, c’était un concept. Un mix entre un planeur, un drone et un dauphin hyperactif.
🥱 Priorité EZ : basse.
Une course trop longue, dans un bateau trop bizarre, pendant une période trop estivale… autant dire que c’était le combo parfait pour une participation mollement enthousiaste. Mais tout n’est pas à jeter : quelques valeureux skippers EZ ont bravé les fuseaux horaires et les foils capricieux pour rallier les plages de sable fin.
🥇 Mention spéciale à nos trois fusées océaniques :
- Bruno (alias Gwened) : arrivé frais comme un ti-punch ;
- Pascal (alias Mohan) : a volé plus que navigué ;
- François (alias Tchoa) : diablement efficace.
🏁 Ces trois-là font partie des cinq skippers EZ (full options, full motivation) arrivés pile-poil avant que la ligne d’arrivée ne se fasse recouvrir de fleurs de tiaré. Les autres ? Ils sont encore en mer. On pense à eux. Si vous les croisez, envoyez-leur des noix de coco.
💡 Moralité : ce n’est pas parce qu’un bateau n’existe pas qu’on ne peut pas souffrir dessus sur Virtual Regatta.
Vanilla-Rush
2025-08-05
Durée : 4 jours. Niveau de stress : Élevé. Nombre de siestes annulées : Toutes.
Tout avait pourtant bien commencé. Des plages de rêve, une mer turquoise et des ex-vacanciers bien décidés à ne rien faire… Jusqu’à ce que le Coach surgisse tel un Lassie maritime flairant la flemme et aboyant des ordres de barre comme s’il jouait sa retraite sur cette course.
🐑 Rassemblement général !
À coups de messages privés rageurs et de vocaux menaçants, il a traqué ses ouailles jusque dans les forêts primaires et les bungalows paillote. Résultat : une horde d’EZistes fraîchement cramés par le soleil à nouveau cloués devant leurs écrans, les yeux rivés sur un clapotis numérique.
👶 Les newbiEZs à l’assaut !
La relève est là, et elle n’a pas froid aux winchs. Gonflés à bloc, nos newbiEZs ont voulu montrer aux anciens que les années d'expérience ne résistent pas à une bonne connexion et un peu de fraîcheur neuronale. Une ambition clairement affichée : faire mordre la poussière aux croulants. Et ils n’étaient pas loin de réussir !
🎯 Le résultat ? Plutôt pas mal pour une bande de matelots à moitié secs :
🏆 4ème place au HOF (oui, encore, mais c’est solide comme du granit breton),
10 EZ dans le top 50.
Et un top 3 individuel qui fleure bon le cockpit bien tenu :
🥇 JC aka Tigrou, 11ème – toutes griffes dehors,
🥈 Eric aka C&MTotW, 13ème – discret mais précis,
🥉 Fab aka juraEZic, 16ème – toujours aussi effervescent (même sans les bulles).
🍫 Le coach ? Disons… la médaille en chocolat. 30ème. Oui. Il paraît que c’est stratégique de ne pas gagner trop souvent. 🙄
🤝 Saluons nos camarades de bataille :
Un grand bravo aux PVE, INC et BSP. La lutte fut rude, les virements serrés, les nerfs tendus, mais toujours dans l’esprit de la régate .
🌍 Prochaine escale : Ocean Race !
Les voiles sont prêtes, les claviers aussi. Le coach affûte déjà ses alertes météo et ses sermons d’avant-match. La team, quant à elle, n’a qu’une question en tête : "C’est quand qu’on dort ?"
Fastnet 2025 : une course placée placée sous le signe du farniente compétitif 🌊
2025-07-29
Cette année, la Fastnet 2025 restera dans les annales comme l'étape où la team EZ était en vacances… et ça s’est vu. Entre les barbecues, les mojitos, les siestes prolongées et les « oups j’ai raté le virement de bord », on a frisé la croisière Costa plutôt que la régate à haute tension.
Mais attention, même en tongs, certains EZ ont sauvé l’honneur !
🥇 Jean-Claude – 57ème : il a activé le pilote tigrou au bon moment… entre deux parties de pétanque.
🥈 Michel – 81ème : un routage audacieux basé sur l’orientation de sa chaise longue.
🥉 Didier – 142ème : un classement honorable vu qu’il pensait participer à la Solitaire du Figaro.
Côté classement au Hall of Fame (HOF) : 12ème place. Pas mal pour une team à moitié en RTT, l'autre moitié en mode « je verrai demain ». La Fastnet 2025, c'était cerveaux en veille et soleil plein la tronche. Mais c’est aussi ça, la magie EZ : prouver que l’essentiel c’est de participer… avec panache et dérision.
Déclaration du coach (en direct de son hamac) : “Objectif atteint : pas de stress, quelques jolis bords et l’équipe est restée soudée… autour du bar.” Team EZ : l’élégance de la voile, la nonchalance en plus.
Rendez-vous pour la prochaine course, où l’on promet de régler les voiles, et cette fois... peut-être même les réveils.
2ème étape de la Transgascogne 2025
2025-07-24
Le CR du coach de mauvaise fois :
2ème étape de la Transgascogne 2025 : le calice jusqu’à la lie… et le fromage qui va avec 🧀⛵
Tout avait pourtant été ficelé avec soin par notre coach EZ préféré : un plan de course en béton armé (issu d’une technologie top secrète appelée l’intuition fatiguée), une escouade de newbiEZs remontés comme des pendules suisses (en plastique, mais suisses quand même), un accastillage minimaliste façon régate de poche (2 voiles, 0 options, 36 heures pour briller)... et surtout, une route droite comme une baguette de pain d’hier. En théorie, c’était du velours. En pratique ? Une descente aux enfers sur fond de houle molle.
Et pourtant, la valeureuse Team EZ n’a pas démérité ! 10 marins dans le top 100, rien que ça ! Mais malgré les efforts, les trajectoires calculées au poil de degré et les siestes mal calibrées, c’est la 4ème place au HOF qui vient s’afficher, comme une claque avec un gant mouillé.
Le coach lui-même montre l’exemple… à ne surtout pas suivre : parti pour une micro-sieste stratégique, il oublie de se réveiller à 2 heures de la ligne d’arrivée. Bilan : une trajectoire finale aussi approximative qu’un GPS en mode « tunnel ».
🥉 Heureusement, un trio EZ de choc sauve l’honneur en grimpant sur le podium de la team :
🥇 Eric, alias C&MTotW, 13ème (il a visiblement échappé à la sieste du coach) ;
🥈 Thierry, alias maelian44, 20ème (même pas une erreur de voile, un miracle) ;
🥉 Bruno, alias DDEUX, 22ème (le roi de l'optimisation des itérations impaires et du café froid).
🎩 Le mot du coach, avant d’aller bouffer son chapeau avec un filet de vinaigre balsamique : "Rendez-vous sur la Vanilla et sur l’Ocean Race… avec des litres de café, des alarmes toutes les 13 minutes et une dose de mauvaise foi bien affûtée. On va se refaire, j’y crois..."
Le CR du 1er EZ :
PURU Transgascogne #2 : la pression, ça se boit !
C'est pas comme s'il n'y avait pas eu un peu de pression dans l'air après le flop de la 1ère manche... Bon on va pas se mentir, vu les prévisionnels de routage avant le départ, ça sentait fortement le bis repetita ! Genre une flotte étalée sur 1 mille de large au départ de Gijón, une route droite, et un jeu de roulette russe car zéro risque météo pour l'arrivée.
Le dernier routage prévisionnel permettait d'ailleurs de partir léger, avec juste le C0 + polish + foils : c'était parfait, mais ça n'a pas duré ! Le lendemain, il a bien fallu en passer par les LJ, donc les winch, et le Furler pour faire bonne mesure afin de gratter toutes les secondes possibles !
Au moment du départ, certains ici partaient sur une stratégie des bords, qui à l'Est, qui à l'Ouest, histoire de ne pas se faire surprendre par un troupeau d'inconnus affamés sortis du diable Vauvert ! Perso, j'ai filé dré dans l'pentu !
On s'est donc retrouvé étalé comme prévu face à la mer, chacun essayant de trouver la meilleure veine de vent ! J'ai choisi de faire confiance au routeur maison, n'étant pas satisfait de la route proposée par AVL, et surtout de son approche finale. La vérité se trouvait sans doute dans un mix des 2, mais je n'ai pas réellement eu, voire même pris le remps de voir ce que ça pouvait donner.
Finalement, l'ajustement de la route fût plus fin qu'à l'aller : le top 3 arrive dans la seconde, le top 15 lui, tient en 20s ou presque, ce qui montre qu'il fallait être plus que précis dans son placement, sur une route légèrement nord par rapport à la mienne pour améliorer le final, mais pas trop sous peine de perdre trop de temps dans les heures précédent l'arrivée.
Bref, j'arrive 13ème, 1er de la Team EZ cette fois-ci, et malgré que l'on ait placé 10 boats dans le top 100, ça ne suffira pas pour accrocher le podium du classement Team. On tentera de faire mieux la prochaine fois !
Bravo aux BSP, aux Inc-BV et aux PVe pour leur course !
Le mot de la fin : si un jour il vous prend l'envie d'aller vous ballader du côté de Gijon, sortez plus tôt de l'AP8, au niveau de Zarautz, qlq kilomètres après San Seb, prenez la N-634 qui vous mènera jusqu'à Getaria, en suivant la côte, et arrêtez-vous dans ce port de pêche espagnol pour déguster la spécialité locale, le Turbo al Rodaballo, en l'accompagnant du vin issu des vignes entourant la ville, le Txakoli !
1ère étape de la Transgascogne 2025 : une boucherie sans voile 🧀
2025-07-18
Le coach de la team EZ, notre inestimable berger de haute mer, avait pourtant tout prévu. Un brief limpide, un plan de course béton, une météo (presque) sous contrôle et surtout une consigne claire : « Tu cliques deux fois, tu dors 12 heures, tu arrives dans le top 10. » Bref, la Transgascogne 2025 - étape 1, sentait bon la promenade de santé virtuelle...
⛵ Petite mise en bouche :
- une course courte (moins de 36 heures, le temps d’un week-end prolongé) ;
- deux malheureux changements de voile à prévoir (autant dire : rien) ;
- aucune manœuvre sérieuse à effectuer (ce qui tombait bien, vu le taux d’assoupissement général à bord) ;
- et surtout : « Même sans options, t’as une vraie chance de briller ! »
🥖 Mais ça, c’était sur le papier. En réalité, c’est une autre recette qui nous attendait : une farce météo nappée d’absurdité océanique. Dès le départ, la course est devenue une loterie météorologique. Résultat : un peloton d’illustres inconnus – les pirates des tréfonds du classement général, les rois du fond de cale – sont sortis du bois ou des grottes, pour s’emparer des premières places. Pire qu’un bug, c’était un putsch météorologique.
💥 Et les kadors ? Explosés. Laminés. Dispersés façon puzzle entre l’île d’Yeu et l’oubli numérique. Toutes les grosses teams ont bu la tasse.
Et la Team EZ ? Ah, la Team EZ… On aurait voulu faire pire, mais on aurait eu du mal. La 5e place au Hall of Fame fut le radeau de la méduse d’un naufrage collectif. Une mention « peut mieux faire » dans une langue que personne n’a envie d’entendre.
🥉 Heureusement, un podium EZ sauve (un peu) l’honneur :
🥇 Pascal alias Mohan, qui a réussi à rester à flot avec style ;
🥈 Antoine alias Speeble, discret mais précis comme un compas laser ;
🥉 JF alias Ven2Bou, qui a vu la lumière au bon moment, ou peut-être juste cliqué par accident (mais ça a marché).
🧀 Le mot du coach avant l’exil : sur les cimes du Cantal, au fond d’un buron isolé, le coach affine désormais des tomes de Salers en ruminant ses fichiers météo. Avant de couper toute connexion internet jusqu’à l’étape 2, il a simplement déclaré : « Je ne pensais pas qu'on pouvait rater aussi court. Rendez-vous sur la suite. Promis, on ne peut pas faire pire. »
👉 Et pourtant… rien n’est moins sûr. À bientôt pour l’étape 2. N'oubliez pas : le pire est toujours devant nous.
Horta-Les Sables : la grande loterie des choix tactiques
2025-07-14
Ah, les Açores ! Cet archipel paisible où la première étape nous avait bercés d’alizés tranquilles et de siestes prolongées sous gennaker.
Le retour vers Les Sables n’avait rien d’une cure de thalasso. Au départ, trois routes possibles et autant d’illusions que de prévisions météo. Bienvenue dans la grande loterie des choix tactiques...
Dès le départ, les options fusent comme des grains en approche :
– La route Nord ? Audacieux !
– La route Sud ? Prudentissime...
– La route intermédiaire ? Le fameux “ni-ni”, spécialité bien connue des stratèges de salon.
Et comme souvent, c’est la route intermédiaire qui fait briller ses promesses les premières 72h. Black Panther et Toppen s’envolent, laissant le reste de la flotte ronronner derrière. Les deux compères caracolent en tête et commencent déjà à se demander où ils vont ranger les bouteilles de champagne.
Mais voilà. Au cinquième jour, c’est le drame. Cruyff, vient ruiner la fête en surgissant du haut de la carte. En quelques heures il enterre les rêveurs de la route intermédiaire, qui fuient la scène du crime en basculant vers le Cap Finistère dans une tentative désespérée de rattrapage.
Pendant ce temps-là, dans le Sud, c’est la cohésion d’équipe chez les EZs. Un beau paquet de skippers, soudés comme des sardines en boîte, attendent patiemment le moment d’empanner et de jouer la fameuse “bascule bretonne”. Pour aller en Vendée : viser la pointe du Raz ! Un classique aussi risqué qu’un jeu de palet sous la pluie.
Mais le Nord ne pardonne pas : Cruyff coupe la ligne le 14 juillet, défilé en solo, Marseillaise dans les oreilles et feu d’artifice dans les rétros. Il précède une escadrille de 11 nordistes, tous aussi contents que frais comme des gardons.
Côté EZ, on sauve l’honneur avec panache : M63, fitrops et need yeux réalisent un triplé groupé dans le groupe Sud, avec une heure de retard seulement sur la tête de la course. Les deux premiers confirment leur régularité en signant un double podium EZ sur l’ensemble de la boucle.
Au classement par équipe, la team EZ décroche 3033 points, synonyme de victoire morale. Alors oui, c’est insuffisant pour impressionner les Bigorneaux Super Performants (les BSP pour les intimes), mais suffisant pour que tout le monde reparte avec le sourire, les voiles pleines de souvenirs… et un petit goût de sel sur la langue.
Prochaine étape : apprendre à lire les isobares... faire dégorger les bigorneaux pour mieux les déguster ou saboter les cartes météo des concurrents.
Partie de flipper en mer Egée
2025-07-10
La mer Égée… Ses îles, son soleil, ses eaux turquoise, ses querelles frontalières millénaires… et maintenant, ses régates virtuelles ! Bienvenue dans l’un des terrains de jeu nautiques les plus chaotiques d’Europe : un labyrinthe de cailloux et de lignes rouges sur la carte qui donnent des sueurs froides aux diplomates… et aux routeurs météo.
Imaginez un flipper grandeur nature : les bateaux rebondissaient de Delos à Kos, ricochaient contre Chios, frôlaient les Dardanelles sans (trop) déclencher d’incident diplomatique. Il ne manquait que les bruitages : tilt, bing, bong, et game over pour les moins concentrés.
Sur cette course, la team EZ n’a pas brillé par sa présence. Seulement 8 courageux ont pris le départ. Les autres sont probablement restés bloqués à Mykonos.
Mais peu importe la quantité, l’important c’est la qualité ! Et là, chapeau bas :
🥉 Gameuro sort le grand jeu et flirte avec les sommets à la 18ᵉ place, sans jamais activer le mode drift.
🥈 Linus suit juste derrière à la 20ᵉ place.
🥉 MaverickK, quant à lui, joue les Top Gun du classement avec une 51ᵉ place bien défendue malgré les turbulences égéennes.
La mer Égée n’a pas été domptée par la masse, mais par l’élite. Nos huit moussaillons EZ se sont bien battus, et nos trois leaders méritent des lauriers… ou au moins un gyros et une bière fraîche.
De La Trinité à Cowes : une ligne droite très accidentée
2025-07-08
La course La Trinité – Cowes, c’est un peu comme une partie de Tetris avec des algues et du courant : ça paraît simple sur le papier… et puis la Bretagne arrive.
Nos skippers de la team EZ, toujours prêts à en découdre dès qu’on prononce « côte bretonne » et « zone d’exclusion » dans la même phrase, ont pris le départ avec enthousiasme mais trop peu nombreux
⚓ Les moments forts :
Les premiers milles furent un vrai plaisir pour les amateurs de virement en catastrophe à six heures du matin. Entre les cailloux et les petites îles au Nord du Finistère, il fallait être aussi précis qu’un horloger suisse pour ne pas finir échoué sur une huître géante.
Mention spéciale à l’organisateur qui a placé une zone d’exclusion en plein milieu du chemin, un peu comme si on avait mis un mur en verre dans un couloir.
L’entrée dans le Solent fut un moment de grâce. Simple, fluide, presque trop facile après tant de souffrances : un peu comme si, après un trek dans la jungle, on trouvait un tapis roulant vers le sommet. Les voiliers se sont glissés jusqu’à Cowes comme des cygnes de compétition. Les goélands applaudissaient.
🏆 Le podium EZ :
🥇 Mohan – Grand stratège et acrobate des côtes, il a viré plus de fois qu’un directeur de start-up mais toujours avec style.
🥈 Pyrrus – Fidèle à lui-même : précis, efficace, et légèrement grognon quand le vent refuse d’obéir.
🥉 Speeble – A mené une course brillante avec un minimum d’erreurs et un maximum de chance.
À bientôt pour une prochaine galère ventée !
Un tour du monde à l'envers : quand la logique prend l’eau
2025-07-07
Bravo à Norman, notre spécialiste du super trail ! Bravo à François et Serge pour ce super podium team.
Il fallait oser. Ils l’ont fait.
Partir pour un tour du monde… à l’envers ! Alors que le commun des marins file plein Est, surfant joyeusement sur les vents portants, nos skippers ont dit : trop facile. Cap à l’Ouest, face au vent, face aux vagues, face à la logique. Des rebelles de l’alizé. Des punks de la haute mer. Des contrebandiers de la météo.
Et autant vous le dire : 51 jours, 12 heures, 58 minutes et 48 secondes pour faire le tour de la planète, ça laisse largement le temps de douter, de discuter avec son grille-pain et de reprogrammer sa vie amoureuse. Mais il en faut plus pour déstabiliser Norman, notre trail-runner des océans, capable de faire un ultra-marathon sur une coque virtuelle sans jamais dormir. Il enchaîne les clics comme d’autres les foulées et boucle cette odyssée aquatique à contre-courant avec la grâce d’un thon sarcastique.
Derrière, François et Serge n’ont pas démérité : ils ont bravé les vents contraires, les courants pervers, les prévisions météo façon boule de cristal cassée.
Tourner à l’envers n’est pas donné à tout le monde. Il faut un mental d’acier, un rein droit en titane (pour le réglage manuel de voile à 3h du matin), et surtout une bonne dose d’autodérision. À l’envers, peut-être, mais le podium EZ est droit dans ses bottes.
La course des caps
2025-07-06
Bravo au podium EZ : Thomas (sbrindolin), Gégé (Gameuro 974), Norman (Man971).
Cette course autour de la Grande Bretagne était une exception à bien des égards :
- une course côtière de niveau 1 truffée de Zones d'Exclusion et de passages piégeux ;
- elle a rassemblé 12 846 skippers ce qui est un très bon score pour VR en ce début d'été.
Alors qu'elle n'était pas définie comme prioritaire, 13 EZs ont choisi de s'y inscrire mais seulement 9 FP/AOs.
Le coach rappelle :
- qu'on est libre de ses choix au sein de la team - on a tous des objectifs qui nous sont personnels : le fun, son classement personnel, battre son chat ou ses amis ;
- seules 3 courses de ce niveau sont prises en compte pour le classement HOF et la team a déjà satisfait à cet objectif avant les 4 transats d'octobre où nous devrons défendre nos couleurs ;
- qu'on est en retard sur les courses de niveau 3 et pourtant personne ne s'y inscrit.
J'aimerais assez que vous méditiez cette citation de Sun Tzu qui résume bien notre stratégie à court terme : "Choisissez vos batailles avec sagesse. Après tout, la vie ne se mesure pas au nombre de fois où vous avez lutté. Ce n'est pas gagner des batailles qui vous rend heureux, mais le nombre de fois où vous avez tourné le dos et choisi de regarder vers une meilleure direction. La voie du succès consiste à trouver le moyen le plus facile de gagner."
Les-Sables - Horta : une louche d’alizés, une pincée de cailloux, et un podium un peu tiède
2025-07-04
La course Les Sables – Horta, c’est un peu comme un kik a farz chez maman : simple et censé convenir à tout le monde. Une longue ligne droite dans des alizés musclés, la mer en mode tapis roulant, les voiles en mode automatique. Il suffisait de mettre le cap, d'appuyer sur "éco+" et d'aller faire la sieste. Mais comme dans toute bonne recette, le diable se cache dans les détails : ici, ce sont les Açores qui ont décidé de jouer les trouble-fête. Juste avant l’arrivée, les bateaux se sont faufilés entre les cailloux comme des caddies entre les bacs promo un samedi matin. Quelques skippers ont même tenté de faire du tourisme gratuit en mode “je voulais voir la plage de plus près”.
La team EZ : l’élite… mais en effectif réduit
Sur cette course aux allures de formalité, la team EZ avait sorti l’artillerie… légère. Tellement légère qu’on aurait cru une réunion de copropriété en plein mois d’août.
Malgré ce service minimum, nos trois héros du jour ont sorti les rames (virtuelles) :
🥉 Thierry (alias fitrop) : premier EZ, mais probablement trop rapide pour apercevoir un seul dauphin ;
🏅 Momo (M63) : toujours là quand il s’agit d’aller droit devant sans réfléchir ;
💪 Greg (Mav) : discret mais redoutable comme un moustique dans une chambre d’hôtel 3 étoiles.
Le trio permet à la team de finir 3ème au classement général, ce qui est à la fois admirable et un peu frustrant… car bon, sur une course sans piège, sans options et sans adversaires majeurs, comment dire… on espérait un peu mieux.
Comme souvent, la team EZ brille dans la difficulté… et ronfle dans la facilité. Sur une course sans options tactiques, elle perd un peu de sa superbe. Et sans renforts, difficile d’improviser un miracle collectif.
Ils étaient peu, ils ont fait le boulot, et ils n’ont pas coulé. À la prochaine course… avec plus de cailloux, plus de bugs, plus de suspense… et surtout, plus de monde !
RORC Transat 2025
2025-07-02
Trois mille miles de grand large, de solitude numérique, de clics frénétiques sur une interface capricieuse et de regrets éternels à chaque virement raté. Une traversée mythique entre Newport et Cowes, capitale mondiale du thé à la bruine et de la régate snob.
Notre monture, l'offshore racer n'avait de "racer" que le nom. Un peu comme si on baptisait "Formule 1" une Twingo fatiguée avec des pneus pluie en plein Sahara. Bref, il fallait de la patience, du doigté… et surtout, éviter de chercher de la vitesse : elle n’était pas fournie dans le package.
Une morue introuvable mais un filet météo bien tendu.
Cette RORC aurait pu être une tranquille transat au rythme du roulis, mais trois jours après le départ, tout a basculé au large de Saint John. À ce moment précis, la course s’est résumée à une question simple : “Nord ou Est ?” Et pendant que certains grimpaient joyeusement vers le Labrador à la recherche de la morue, d’autres, plus malins ou plus en retard, ont pointé plein Est… et bim, jackpot !
Le retour du Viking !
C’est alors que réapparut, comme un vieux loup des fjords, le Suédois Toppen. On ne l’avait plus vu depuis des siècles. Certains disent qu’il dormait dans une hutte en bois au fond d’un archipel, méditant la polaire parfaite. Il est revenu, il a cliqué, il a gagné. Merci, bonsoir. La légende renaît, et les skippers de VR tremblent.
Des EZ en mode survie.
Pendant ce temps-là, chez les EZ, la lutte faisait rage. SuperZombi, de retour du cimetière des GRIBs, a tenu tête à pascal83, le bricoleur du Sud, et à sail’s, l’homme aux waypoints zen. Dans une ambiance oscillant entre entraide fraternelle et rivalité sournoise, nos trois mousquetaires ont hissé fièrement la bannière EZ sur la 3ème marche du podium par équipes. Oui, monsieur. Troisième ! Juste derrière deux escadrilles de fous furieux sous amphétamines marines.
Une course à retenir pour sa météo fourbe, ses racers en mousse et le retour du Suédois masqué. La prochaine fois, on partira à l’Est dès le départ, ou on demandera à Toppen.
Ocean Fifty Series 2025 #02 : le Shot de l’Ouest
2025-06-28
Un aller-retour Bretagne–sud de Sud-Irlande plus rapide qu’un Irish Coffee avalé au bistrot du port par un marin en goguette. Le genre d’expédition où tu passes plus de temps à choisir tes voiles qu’à réellement les utiliser.
Dès le départ, les skippers étaient chauds comme des crêpes sur le billig. Une météo clémente et une ligne de départ qui sentait bon la sardine grillée. En moins de temps qu’il n’en faut pour dire "houle croisée", tout le monde filait plein nord, direction l’île verte, les embruns dans les narines et la Guinness dans le viseur.
Comme d’habitude, tout s’est joué là où ça pique : à la pointe de Penmar’h, surnommée désormais dans les milieux autorisés "la chausse-trappe des marins trop confiants". Entre les cailloux sournois et les skippers distraits par le dernier SMS de Météo Consult, le goulet s’est transformé en goulot d’étranglement. Certains y ont laissé des plumes, d’autres leur dignité tactique. Un skipper EZ aurait même crié : "Mais qui a déplacé le phare ?!"
L’arrivée au sud de l’Irlande s’est faite en mode "bonjour – au revoir". À peine le temps de zieuter un mouton sur une falaise et hop, demi-tour ! Pas de pub, pas de ragoût à la bière, juste un virement de bord au GPS comme une visite chez la belle-mère : rapide et sans bavure.
Le retour fut un festival de réglages millimétrés et de jurons bien sentis. Certains ont tenté le large, d'autres ont rasé les côtes bretonnes en se souvenant (trop tard) que les goélands n’ont pas de GPS. Au final, c’est encore une fois celui qui ne s’est pas planté à Penmar’h qui a tiré son épingle du jeu.
Commme d'habitude cette course s'est jouée sur une anomalie cartographique qui n'existe pas en réalité - l'Ile Nonna est bien plus au large dans la réalité (cf. image).
Les 2 premières places team sont occupées par nos réunionnais, à savoir Dom (LaBuse974-EZ) et Gégé (gameuro 974-EZ). Didier (Sail's-EZ) complète le podium.
Les Territoires de l’Ouest - La suite du préquel…
2025-06-23
Ah, “Les Territoires de l’Ouest”… Une épopée titanesque à travers l’Atlantique Sud qui aura laissé plus de monde sur le quai que sur la ligne de départ. Entre un parcours digne d’un tour du monde en pantoufles et un intérêt du public proche de celui d’un documentaire sur la reproduction des lichens, l’événement n’a pas fait recette.
Sur l’ensemble de la team EZ, seuls trois courageux ont pris le départ. Oui, trois. Pas besoin de drone pour la photo de groupe. On aurait pu les installer dans un pédalo, ça tenait :
🥇 Patriste, 135e au général, couronné roi de la patience et du réglage minimal, s’est élancé avec un équipement limité à la prime de départ. Comme quoi, l’expérience, c’est comme le rhum : ça compense bien des manques.
🥈 Mohan, 343e, parti en retard depuis la Frégate, était sans doute plus intéressé par le lever du soleil quotidien sur le pont que par le chrono.
🥉 R’Mionne ferme la marche avec brio de ce trio de "sans-dents".
Avec cette course, Virtual Regatta confirme son talent unique à créer des événements que personne ne réclame... Trop longs, trop nombreux et surtout trop vides. On commence à soupçonner que le prochain challenge sera une traversée du bac à sable, sponsorisée par “Courses Inutiles & Compagnie”.
Merci aux trois gladiateurs EZ d’avoir tenu la barre. On les retrouvera probablement dans une prochaine course. Enfin… si l’organisateur ne lance pas d’ici là une nouvelle régate de 78 jours entre deux mares à canards.
Tour de Bretagne 2025 : une victoire… sans crêpes ni cirés jaunes
2025-06-19
C’est un drame breton d’une ampleur qu’on n’avait pas vue depuis l’invention de la galette-saucisse sans moutarde : la prestigieuse course à la voile autour de la Bretagne vient de s’achever… et aucun Breton ne monte sur le podium. Aucun. Pas même un Finistérien égaré ou un Morbihannais infiltré. Rien. Le néant. Breizh en PLS.
Le podium, c’est un peu la foire aux sabots :
🥇 1er - Michel, du Loir-et-Cher.
Le bonhomme ne distingue pas une bigoudène d’un bigorneau, confond Penmarc’h avec une marque de camembert, et appelle le cidre "jus de pomme fermenté". Et pourtant, c’est lui qui boucle le tour en tête. Il paraît qu’il s’orientait grâce aux panneaux Michelin. "J’ai suivi la D784, puis j’ai tourné à gauche après le menhir."
🥈 2ème - Jean-François, du Tarn.
Il est monté sur son bateau comme on monte sur un tracteur : solide, lent au départ, mais impossible à arrêter une fois lancé. On l’a entendu demander si la mer d’Iroise se trouvait "vers Albi ou plutôt côté Castres". Il a passé Ouessant avec un air dubitatif : "J’croyais qu’c’était une chèvre."
🥉 3ème - Fab, du Jura.
Il a navigué avec des moufles et un thermos de vin chaud. Pour lui, la brume bretonne, c’était "comme un matin à Saint-Claude, mais en plus salé." Il a failli jeter l’ancre en croyant voir une station de ski à l’horizon (c’était Belle-Île).
Et les Bretons dans tout ça ?
Ils sont quelque part… derrière. Trop occupés à débattre de la cuisson idéale du kouign-amann ou à recaler les voiles à la perfection, pendant que les touristes d’eau douce prenaient le large sans se poser de questions.
Certains évoquent une malédiction, d’autres une grève silencieuse des goélands syndiqués. Un vieux marin de Douarnenez résume l’affaire avec sagesse : "On les a laissés gagner, juste pour voir comment ils prononcent ‘Trégunc’."
Rendez-vous l’année prochaine, avec peut-être une Breizh revenge… ou un podium 100 % Alsacien ?
Groupama 2025 : « EZs sans EPO »
2025-06-19
C’est sous un ciel turquoise, une brise tiède et des soupçons de bugs flottants sur les cambuses que s’est élancée la grande course à la voile autour de la Nouvelle-Calédonie. Une épreuve redoutable, mais propre, enfin… en théorie.
Sur la ligne de départ, seulement quatre membres de la célèbre Team EZ. Oui, quatre ! Autant dire que c’était presque un huis clos. Les autres ? Disparus. Évaporés. Déclassés pour excès de vitamines marines ? Le doute plane.
Mais quel quatuor ! Des vrais, des purs, des durs !
Malgré leur petit nombre, ces quatre mousquetaires des mers du Sud ont fait honneur à leur bannière, évitant les récifs comme les débats sur les protéines douteuses. Pas de boost, pas de turbo, juste du talent.
En résumé :
– La Team EZ a fait moins de bruit que d’habitude, mais plus de sillage.
– Le podium ? Peu importe. Ce qui compte, c’est l’élégance de la voile droite et du moral propre.
– Et les absents ? On leur souhaite un prompt retour… une fois les flacons analysés.
Bravo à Norman, STF, Denis et Thomas, les quatre fantastiques d’une Nouvelle-Calédonie naviguée sans additifs !
Road to Summer 2025
2025-06-15
Une vraie urgence : Rétablir l'équité pour tous dans l'utilisation des consommables ou les supprimer temporairement pour tous. Serge (alias MTZ8493-EZ).
Acte 1 de la Bug Boat Cup 2025
2025-06-14
Ah, Virtual Regatta… Ce doux mélange entre la passion de la voile et le suspense d’un serveur sous Lexomil. Cette année encore, les skippers du monde entier ont embarqué pour une aventure palpitante lors de l'acte 1 de l'Ocean Fifty 2025, une régate virtuelle qui restera dans les annales — ou plutôt dans le fichier corrompu de l’histoire.
Départ : un vent de promesses
Tout avait pourtant bien commencé : un départ sous un ciel pixelisé, des voiles bien tendues, et des skippers concentrés comme jamais… jusqu’à ce que le Bug surgisse. Le désormais célèbre "bug des consommables", cette innovation technologique digne d’un épisode de Black Mirror, a fait son grand retour, semant la zizanie dans les flottes virtuelles.
Le bug : magie ou sabotage numérique ?
Imaginez : certains joueurs voyaient leurs voiles pro se transformer en chaussettes mouillées, tandis que d’autres, bénis par le dieu du glitch, bénéficiaient de manœuvres raccourcies par la magie de "produits dopant autorisés". Une régate équitable ? Oui, bien sûr… si l’on considère que la roulette russe est un sport d’équité.
Mais ne vous inquiétez pas : Virtual Regatta, dans un élan de transparence opaque, a formellement nié toute anomalie. Pour le support technique, ce n’est pas un bug, mais un "problème visuel". Traduction : si tu ne vois pas ta barre chocolatée ou ta barquette de pastas, c’est que tu n’as pas assez de foi.
À ce stade, on se demande si le comité de course utilise ses écrans à l’envers, ou s’il faut être équipé d’une IRM pour voir les problèmes.
Conséquences : classement fantôme et skippers fantômes
Le résultat ? Un classement aussi crédible qu’un horoscope de café-théâtre. Des leaders tombés dans les abysses du classement sans explication, des outsiders propulsés sur le podium par la magie du bug, et des skippers qui ont fini par jeter leur ordi par la fenêtre à défaut d’une bouée.
Les courses suivantes organisées par Virtual Regatta ont été accueillies dans une ambiance tiède, entre boycott et crise de nerfs. Les plus fidèles sont restés, accrochés à leur souris comme à une pagaie percée, mais beaucoup ont déserté, préférant une vraie boussole ou une bonne vieille bataille navale en carton.
En conclusion : voile ou naufrage ?
L'étape 1 de la Bug Boat Cup 2025 nous rappelle que dans "course virtuelle", il y a surtout "virtuel". Et que parfois, ce qui compte, ce n’est pas de gagner, mais de participer.
Alors, à la prochaine étape… ou pas. Tout dépendra de ce qu’on voit. Ou pas...
Normandy Channel : quand le sel de la mer rencontre le sel de la loose...
2025-05-30
Tous les EZ sont arrivés au port et c'est Michel (essor50) qui remporte le classement team devant Thomas (Sbrindolin) et François (tchoa860). Félicitations au podium et à un top 10 remplis de NewBiEZs.
Le classement des sans dents est remporté par Fab (juraEZic) devant Jean-François. Il doit sa victoire à une traversée hasardeuse de cailloux devant l'étrave du leader.
Moralité : en voile comme en amour, tout peut basculer à trois mètres du bonheur. Et un bon sondeur, c’est parfois plus utile qu’un ego en carbone.
Sodebo 2025 - c’était pas prévu, mais on y est quand même...
2025-05-28
Voici le compte rendu de la course transatlantique à la voile Sodebo 2025, avec une équipe qu’on n’attendait pas, mais qui a fait sensation… malgré elle.
La Transat Sodebo 2025 devait être, sur le papier, un événement suivi à distance par notre vaillante team. Pas de participation prévue, pas d'inscription, et surtout : un planning bien chargé en siestes, apéros et repos bien mérité. Et pourtant…
Le 21 mai, alors qu'on pensait que tout le monde était bien au chaud dans ses charentaises, le trio infernal embarque. Par erreur. Ou presque.
Le Podium Surprise :
🥇 Bruno, alias "le breton têtu", 4ème
Bruno n’avait pas prévu de traverser l’Atlantique, mais une fois à bord, impossible de le faire redescendre. Il a décrété que « c’est pas une météo capricieuse qui va m’arrêter, nom d’un goémon ! ». On ne sait pas comment, mais il a navigué trois jours de suite sans dormir, en alimentant le bateau uniquement avec du café noir et des galettes au beurre demi-sel.
🥈 Gégé, "il était censé être en vacances", 14ème
Gégé avait réservé un séjour thalasso à Saint-Denis de la Réunion. Il a confondu le quai d’embarquement avec celui du catamaran touristique. Une fois à bord, il a râlé pendant 5 jours, puis il a pris goût à la vie au grand large et pris les manœuvres uniquement les jours impairs, entre 14h et 16h. Il termine deuxième de la team, sans s’en rendre compte. On l’a retrouvé en train de chercher le buffet d’arrivée.
🥉 Serge, "parti à l’insu de son plein gré", 20ème.
Serge accompagnait « juste pour filer un coup de main au départ ». Une petite poussée sur le quai, une écoute mal fixée, et hop, le voilà en pleine mer sans même avoir eu le temps de dire “p’tain j’ai oublié mon sandwich”. Après quelques jours de mer, il a développé un don pour la navigation intuitive (« on va par là, ça a l’air plus bleu »). Il termine troisième, ébouriffé mais heureux.
Le mot du coach (qui n'était pas au courant) : « Je pars une semaine en vacances, je reviens, et ils ont fait une transat en finissant à la 5ème place du challenge par équipe... A quoi bon planifier quoi que ce soit ! A défaut d'avoir un compte rendu du breton têtu, je cherche en vain des explications... ».
2ème place au HOF sur la Japan Spring Run
2025-05-18
Un grand bravo à Bruno (Gwened56-EZ) qui a su éviter bien des pièges sur cette course et termine proche du top 10, à Bruno (DDeux-EZ) pour son top 20 - alors qu'il a fait la moitié de la course en PDD et à Pascal (Pascal83 A3V-EZ) qui termine aux portes du top 20 malgré un échouement.
Sur cette course difficile, avec un faible effectif EZ, dont plus de la moitié en PDD les 5 premiers jours, nous avons bien résisté aux INC jusqu'aux 36 dernières heures.
La team accroche finalement la 2e place grâce à un top 10 entièrement dans le top 100 VR.
Victoire EZ sur l'Atlantique Conqueror
2025-05-11
Un grand bravo à Thierry pour son top 10 monde et sa victoire EZ, à Francis pour son top 15 monde et à Maurice pour son top 25 monde.
Un beau podium EZ que complète les 7 suivants pour un top 10 team qui permet la victoire des EZ devant les PVe et les BSP. La team a été au top avec 12 EZ dans le top 100.
Ah, l’Atlantic Conqueror… 52 jours de vents capricieux, de grains traîtres, et de spaghettis lyophilisés. Deux mois où même les mouettes ont abandonné les bateaux pour Netflix. Et pourtant, ils l’ont fait. Ils ont conquis l’Atlantique. Enfin… conquis, c’est un grand mot. Disons qu’ils ont traversé sans couler. Ce qui est déjà un exploit vu la météo capricieuse sur ce marathon.
Après St Helène, deux grandes stratégies ont émergé : la route Ouest, longue mais avec des vents porteurs, et la route Est, courte mais risquée — un peu comme essayer de faire un créneau avec un pétrolier dans une ruelle de Montmartre.
Un petit groupe téméraire (3 bateaux), qu’on soupçonne d’avoir confondu audace et insomnie, a choisi cette fameuse route Est. À un moment donné, ils ont eu jusqu’à 12 heures d’avance. Douze heures ! À ce stade, on pensait qu’ils avaient trouvé un raccourci quantique. Hélas, les vents tournent, les nuages grondent, et l’océan, jaloux, les a fait redescendre de leur piédestal pour finir avec… 1 heure d’avance. Une victoire, certes, mais une victoire qui sent le roussi et l’algue collée sous la coque.
Mais la vraie star de cette épopée, c’est la Team EZ. Les Esthètes du Zéphyr, les Experts du Zizag... Appelez-les comme vous voulez, ils ont placé 7 skippers dans le top 50 (12 dans le top 100). On soupçonne un pacte avec Poséidon ou une formation secrète chez les dauphins.
Pendant que les autres se débattaient avec des algues récalcitrantes, des coups de vent sournois et des hallucinations causées par le manque de sommeil, les EZ ont tracé leur sillage avec l’élégance d’un ballet nautique.
Bref, l’Atlantic Conqueror fut une épopée digne d’Homère… mais avec plus de sel, moins de sirènes, et nettement plus de jurons criés contre un écran.
Transat Paprec : Suspicion, Suspense et Spray Salé
2025-05-09
Sous un soleil timide et un vent toujours en option, le podium EZ de la célèbre Transat Paprec est arrivé ce matin à Saint-Barthélemy. Une foule nombreuse s’était rassemblée pour applaudir les vainqueurs et, surtout, scruter les équipages. Car cette année encore, les règlements sont clairs : chaque voilier devait être barré par un homme et une femme… ou du moins, c’est ce que disait le formulaire d’inscription.
En première position, l’équipage de "Barbue mais Binaire", composé d'Eric, un baroudeur au large sourire, et d'Olive, dont la voix grave fait frissonner les haubans et dont la pilosité faciale laisse perplexes même les plus tolérants des dauphins. « Ce n’est pas une barbe, c’est une malheureuse conséquence de 20 jours de mer sans rasoir », a expliqué Olive, visiblement irritée par les rumeurs… ou peut-être par ses hormones.
En deuxième place, sur le voilier "Sirène & Diesel", on retrouve une autre Olive, ancienne prof de yoga reconvertie en navigatrice, et son partenaire Eric (encore lui), dont les tatouages couvrent plus de surface que les voiles. Les spectateurs ont salué leur performance, même si certains ont murmuré : « C’est drôle, dans cet équipage, c’est la femme qui crache et qui jure, et l’homme qui pleure devant les dauphins. »
Enfin, en troisième position, l’équipage de "Trop de Vent Pour les Jupes" a ravi le public par sa bonne humeur et ses chorégraphies de winch synchronisé. Là encore, quelques regards suspicieux se sont échappés, notamment sur Mauricette, dont la carrure ferait rougir un joueur de rugby et dont l’ancienne vie semble aussi nébuleuse qu’une météo bretonne. Mais comme le dit le comité d’organisation : « Tant qu’ils traversent, qu’ils n’utilisent pas de moteur, et qu’ils savent différencier bâbord et tribord, on ne va pas chipoter. »
Rappelons que la mer n’a pas de genre, que les vagues ne jugent pas, et que sous une capuche de quart et 15 jours de pluie, même un miroir ne vous reconnaît pas.
La Pornichet catastrophique
2025-05-06
Quand on ne sait pas où on va, il faut y aller !! et le plus vite possible...
Catastrophe virtuelle sur la Pornichet Select. A l'exception de Fab (juraEZic : 13ème au général), le reste de la team a fait de la pêche à pied ou de la cartographie approfondie.
La flotille EZ finit à la 9ème place du HOF.
Med Channel Race - Bravo les newbiEZs !
2025-05-05
Un grand bravo à Michel qui finit dans le top 10 mondial !
Et à ses dauphins : Winz qui fait une entrée fracassante dans la team, Pascal aussi dans le top 20 !
Et bravo à tous les autres sans qui la team ne serait pas seconde au HOF.
Déjà 3 newbiEZs dans le top 10 team : Winz, Tom et Yann... une standing ovation !
Marseille Express
2025-05-01
Arrivée dispersée d'une toute petite flotte EZ (6 bateaux) sur cette 1ère édition de la course Marseille Express...
Félicitations à tous. Bravo à Bertrand, Pascal et Serge pour leur podium team.
Los Angelès-Honolulu 2025
2025-05-01
Arnauld (UUNet-EZ) signe une jolie performance individuelle sur l'édition 2025 du record Los Angelès-Honolulu.
eSailing Nation Cup 2025 #03
2025-04-27
Arrivée dispersée d'une toute petite flotte EZ sur cette 3ème et dernière étape de la eSailing Nation Cup 2025...
Félicitations à tous. Bravo à Nils, Jean-Claude et Dom pour leur podium team.
Easter Mission 2025
2025-04-19
Clap de fin de cette course dans le Pacifique Sud. Tous les EZ ont rejoint le port ou presque (quelques uns sont venus en ramasse-crédits ou pour faire des tests).
Bravo Néo-EZ (Nils) qui finit aux portes du top 10 monde et remporte le classement EZ avec un peu moins de 3 minutes d'avance sur LaBuse974-EZ (Dom). Mohan-EZ (Pascal) complète le podium.
C'est finalement avec 110 points d'avance que les PVe remportent la classement par équipe. Mais, avec 1959 pts, c'est notre meilleur performance sur une course de catégorie 3 en 2025. Bravo au top 10 EZ !
CR de Nils :
Pas simple de faire un CR, car la course a été complexe. Selon moi elle s’est déroulée en 3 phases :
1- Des vents du NE :
Un départ le long des côtes, suivi de quelques CB avant d’attaquer une remontée vers le NO. Il ne se passe pas grand-chose durant cette phase, quelques petits écarts mais rien de définitif.
2- Des vents du SO :
Lors de cette remontée vers le NO, il a fallu gérer l’inversement complet des vents et 2 ailes de mouettes. Ce fut la phase critique où les écarts se sont créés. Je pense qu’il fallait anticiper un peu la bascule des vents au SO en tirant un peu plus vers l’Ouest (comme l'a fait Mousseline BSP… il a donc touché les vents du SO avec un meilleur angle avant tout le groupe de tête).
A noter que pendant cette phase, je me suis pris 2 fois des doubles changements de voiles (HG – LG – HG) en moins de 10 minutes, mais j’ai compris pourquoi et je ne ferai plus l’erreur (j’espère).
3- Des vents « tourbillonnants » qui passent progressivement au SE.
Au début du 4ème jour, le groupe de tête a commencé une série de CB afin de se positionner pour la dernière « louche » vers l’arrivée.
Une autre option était de couper vers le Nord un peu plus tôt. Quelques-uns l’ont fait (Pirond-EZ, moi-même …) et on a regagné pas mal de places.
Pour le final (la « louche » vers l’arrivée), il fallait trouver la bonne ligne, ni trop Nord, ni trop Sud … et là j’ai eu beaucoup de chance.
Mais ce que je retiens de cette course, c’est vraiment la performance d’équipe. 10 EZ dans les 64 premiers, c’est vraiment un super résultat.
Titanic 1912
2025-04-15
Bravo à Pascal, Gégé et Patrice, les seuls participants de la team à cette course maudite...
Victoire d'équipe sur la 6ème étape de la Globe40.
2025-04-15
Arrivée groupée de l'ensemble de la team ...
Félicitations à tous pour cette belle victoire au HOF avec un nombre de points conséquent : 3461 (C'est notre meilleur score de l'année sur les courses VSR2). Bravo à Serge, Bruno et Francis pour leur podium team.
Ci-dessous le CR du vainqueur du challenge EZ : Serge, alias MTZ8493 :
"Au moment du départ, je n’ai pas vraiment de doutes et je pars au nord au proche des côtes du Brésil bien décidé à suivre cette route pendant plusieurs jours. Finalement, après avoir étudié un peu plus la météo sur Windy, je décide de m’écarter et de tenter de rejoindre le gros de la troupe. A la fin du premier jour de course, je suis dans le peloton avec un petite demi-heure de retard.
La question suivante est de définir le passage du pot au noir. Je n’oublie pas que nous sommes avec un Class 40 et qu’il faut éviter de rallonger la distance. Je vise l’est de Fernando pour finalement passer à l’ouest.
C’est ensuite de longues journées à remonter l’atlantique en évitant les routages extrêmes comme le nord des Açores ou les côtes portugaises. Pas facile de rester toujours serein avec des routeurs qui proposent régulièrement de faire l’essuie-glace. Je surveille attentivement Linus que je considère comme une référence EZ avec ce bateau. J’ai vu partir Pakebo61–PVE mais vraiement cette route ne me semblait pas viable (j’ai eu tort). J’essaye de rester sur une route au sud des Açores et pas trop loin du Cap Finistère. Je ne fais pas vraiment des étincelles mais je reste à l’avant sans faire de grosses boulettes. Le top 50 me semble correspondre à ma course.
Lors du dernier virage en direction de l’arrivée, je me positionne en attente mais, à trop regarder mes adversaires, je me retrouve un peu trop au sud. J’ai pourtant passé une bonne partie de la nuit pour ne pas avoir de changements de voile et prendre des pénalités inutiles. Au matin, je suis dans le top 30 et je suis content.
Je me dis à ce moment que le top 20 reste possible mais je suis méfiant, c’est un bateau avec lequel je ne réussis pas souvent. Ensuite, j’ai déroulé mon routage très simplement en essayant de rester le plus propre possible, en évitant les oscillations et en minimisant la distance.
A 8 heures (soit à 2h30 de l'arrivée), j’ai rendez-vous pour le toilettage de mon chat. Je pose mes programmations avec application pour ne pas risquer une touchette dans les derniers miles. En partant de chez la toiletteuse, je regarde sur mon téléphone et mince je n’ai pas de réseau.
De retour à la maison, je regarde rapidement et je suis surpris de me retrouver 7ème. J’ai envie d’essayer d’améliorer mon arrivée mais il reste moins de 30 minutes de course. J’estime que ce n’est pas prudent et je me déconnecte. Lorsque je réouvre la course je vois que j’ai terminé 5ème et j’en suis très content. Je réalise assez vite que je termine juste une petite seconde devant Bruno mais que cet écart le plus minime risque de lui couter très cher au général et j’en suis sincèrement désolé pour lui.
35ème sur la leg 5 et 5ème sur la 6, je vais devoir arrêter de dire que je n’aime pas ce bateau."
Avec 6 bateaux dans le top 20 et les 10 dans le top 66, c’est une superbe victoire des ExtaZ Sea The SeaCleaners.
eSailing Nation Cup 2025 #02 - Nouveau podium team
2025-04-08
Bravo au podium (Bruno, Pierre-Antoine et Gégé) et à notre top 10 EZ.
La team finit sur la 3ème marche du podium HOF en alignant plein de nouveaux noms.
Intertropical Challenge 2025
2025-04-01
Félicitations au podium : Gégé, Eric et Nils...
et Bravo à toute la team EZ qui place ses 10 premiers joueurs dans le top 100 de cette course compliquée.
eSailing Nation Cup 2025 #01 - Une course passionnante
2025-03-22
5 Teams : France, Allemagne, Suisse, Italie et Pologne
Chaque équipe est composée de 8 joueurs qui alterneront à chaque étape.
L’étape 1 nous propose un parcours très complexe reliant la baie d’Osaka à l’Ouest de l’Australie.
L’équipe de France aligne une superbe composition : Nico_jud (3), Lohann la Terreur (8), LaGambasSansPlastic (135) et BlackPanther (2).
Au départ de cette course, il semble qu’il ait de multiples routes possibles et je fais le choix de n’en étudier que 2 :
- Une route classique via Taiwan et le détroit de la Sonde ;
- une route centrale via les détroits de Macassar et Badung.
Je fais d’emblée l’impasse :
- sur toutes les routes Est : car je n’ai pas le temps de les étudier – le chat est feignant ;
- sur la route folle contournant l’Australie par l’Est car le chat n’est pas fou.
L’analyse ensembliste menée par nos spécialistes EZ de la météo me conforte dans mon choix.
Baie d’Osaka :
Lors du départ de cette course j’opte pour la route centrale-est permettant de conserver le maximum d’opportunités. Le mardi 04 mars à 13:00 toute la team EZ s’élance le couteau entre les dents pour affronter une série de bords et de contrebords dans la baie d’Osaka. Je commets d’emblée une grosse bêtise. En simplifiant ma route à l’extrême afin de ménager mon énergie, je prends immédiatement 1 heure de retard sur les leaders de la team et des équipes nationales. Je pointe en 128ème position le 05/03.
Mer des Philippines :
Lorsque la flotte débouche dans la mer des Philippines le 06/03 la météo devient folle ! Chaque mise à jour apporte son lot de surprises. La route Ouest revient en force mais je choisis de reporter toute décision radicale. Je continue vers mon point de passage fixé au Sud de Bornéo.
Les mouches changeront d’âne plusieurs fois au cours de cette course.
Détroit de Macassar :
Lorsque je valide mon point de passage de la pointe Sud de Bornéo l’analyse des routes possibles donne 2 grands ensembles distincts : rejoindre le détroit de Macassar, partir vers l’est et les multiples passages du Timor Oriental.
Je résume la situation sur notre Discord de la façon suivante : faites vos jeux
Entre ceux qui sont le long des côtes Vietnamiennes et ceux l'Est des Moluques du Nord, c'est un écart de près de 1 400 mn. Si à l'Ouest la situation est assez simple, à l'Est, 3 options ont l'air de se dessiner. Je choisis de partir sur la route centrale et donc vers le détroit de Macassar.
Détroit de Badung :
La dernière escarmouche sur cette course palpitante se produira lors du passage du détroit de Badung.
1 nd de vent – pétole totale !
Je choisis, comme le gagnant de cette course, de partir vers l’Ouest. Ce qu’il reste de l’équipe de France file vers l’est.
Cette manœuvre s’avèrera décisive !
Le 16/03 une grande partie de la flotte a effacé l'Indonésie et fait route vers Perth plus ou moins directement.
Le classement favorise toujours l'Est qui est plus proche de l'arrivée mais la vérité du jour n'est pas forcément celle de demain (ou après, après, après, après, après demain !), car tout le monde est pris dans une pétole (les Ouestiens comme les centraux), alors que les Estiens déboulent à plus 13 nds...
Mer du Timor
Les 17 et 18/03 la situation se décante. Seuls deux groupes sont à la bagarre pour les 1ère places : le groupe Ouest de Nico_Jud et Linus, le groupe centre de Mac Kele, La Buse et Bibi.
Cabotage final le long des côtes australiennes… et arrivée à Perh !
Forza Mc Kele !
Je finis en 8ème position et la team se hisse sur la 2ème marche du HOF.
Miaou !
Jules Verne 2024-2025 - Bravo Ivan !
2025-03-19
Un petit compte rendu d'Ivan (alias ULTRINE-EZ)
"Après le Vendée Globe, cette année le trophée Jules Verne avait un goût de revenez-y. Le temps de rallier Brest depuis les Sable, me voilà reparti pour un re-tour du monde dès la fin du mois de janvier.
J'anticipe d'une douzaine d'heure l'optimum de la première fenêtre qui se présente et go !
La descente très rapide me place en tête au moment du passage de l'équateur (4j03h), puis à Agulhas, puis à Leeuwin. Malheureusement, je n'arrive pas à creuser le trou avec des poursuivants, plus patients que moi au départ qui, au bénéfice de systèmes météo favorables, me rejoignent avant le Cap Horn.
Ouessant - Cap Horn en 21J01h c'est néanmoins un temps canon que je ne suis pas prêt d'égaler !
L'Atlantique retour est plus compliquée mais l'avance au Horn offre la promesse d'une jolie place.
Bilan : 35 j1 7h 39m, mon meilleur temps sur un tour du monde, mais hélas ce n'est pas cette année que je battrais mon meilleur classement sur cette course !"
La team ExtaZ SEA recrute!
2025-03-17
Tu commences à bien te classer sur Virtual Regatta ? Viens proposer ta candidature à teamextazsea@gmail.com, tu auras peut-être la chance d'intégrer notre équipe ! ❤️🔥
Celtic Arrow
2025-03-17
La team est 5ème au HOF.
Félicitations au podium : Francis, Nils et Pascal ... et Pierre-Antoine qui était tout proche.
Et bravo à tous les participants.
Victoire d'équipe sur la Transatlantic Sprint
2025-03-12
La team ExtazSea remporte le classement de cette course grâce aux performances de ses 10 premiers skippers, dont notre magnifique top 3: Gameuro974 6ème, M63 8ème et Labuse974 10ème. une course de 11jours et 12heures entre Newport et La Rochelle à bord d'un Figaro. Bravo à toute l'équipe pour cette performance!
Podium Team sur l'étape 5 de la Globe40.
2025-03-10
Bravo LinusVanPelt ⭐⭐⭐⭐, gameuro 974-EZ ⭐⭐ et MTZ8493-EZ ⭐ pour leur podium team.
Bravo au top 10 qui, grâce à des classements dans le top 100, permet à la team de terminer à la 2ème place du HOF.
Avec 22347 points notre ami Gwened56-EZ demeure en tête de cette course à étapes. L'enjeu : un voyage à la Réunion :).
St Patrick - Une course très compliquée
2025-03-05
Joli podium mais piètre performance du reste de la team (12ème au HOF). Il y avait une feuille de trop au trèfle irlandais...
Record de Méditerranée
2025-03-02
22 EZs se sont élancés sur ce record du samedi 1 février 2025 au dimanche 2 mars 2025. Si la plupart d'entre nous ont pu effectuer 2 ou 3 tentatives, les meilleurs temps seront réalisés sur la fenêtre du 14 février. Seule cette fenêtre permettait d'effectuer une route presque directe entre Marseille et Carthage : 6 empannages et 1 changement de voile.
Comme toujours les temps à l'arrivée sont très proches et tout s'est joué sur des détails : durée des contrebords, optimisation des temps de manoeuvre, détermination du point optimum pour franchir la ligne d'arrivée, etc..
La team termine à la 4ème place du HOF.
RORC Caribbean 600 - Ludo revient !
2025-02-27
C'est une team EZ bien diminuée qui s'est présentée cette année sur ce sprint entre les cailloux. Nous finissons 17ème au HOF ! Ludo, Olive, Pogo, All4One... nous manquent.
Les vents de la St Valentin
2025-02-20
Ce parcours original dans les eaux du Pacifique n'a pas rassemblé beaucoup d'EZs sur sa ligne de départ.
Round Australia 2025
2025-02-20
Première place team pour Anthony (Becherel-EZ) sur ce record boudé par tous les EZs.
North Pacific Circuit
2025-02-15
Nous avions placé cette course en prioritaire team et, malgré une bonne participation, elle ne comptera pas pour améliorer notre HOF.
C'est bien dommage mais fidèle à nos habitudes nous n'avons rien lâché et c'est très important.
Un grand bravo à Thierry, Dom et Eric, notre podium team, au top 10 et à tous les EZs.
Corsican Loop
2025-02-02
Bravo à notre podium. Félicitations Gégé, Pascal, Michel.
La team finit à la 4ème place du HOF.
Vendée Globe 2024, la fin de la course mythique !
2025-01-31
La plupart des membres de l'équipe sont arrivés aux sables d'Olonne.
Bravo à notre trio de tête: Anbae à la 17è place, Sandokan 18è, et BigLuD 82è !
Un énorme merci à notre partenaire The Sea Cleaners Swiss de nous avoir accompagné dans cette aventure en nous fournissant l'équipement de nos bateaux, dont des voiles aux couleurs de l'équipe😍!
Gameuro gagne la RORC Transatlantic race !
2025-01-26
Gameuro a traversé l'Atlantic entre Lanzarote et Grenada en 12 jours, 23 heures, 42 minutes, et 27 secondes à bord de son Offshore Racer sur Virtual Regatta, se classant ainsi 1er mondial !
Il est suivi de M63 en 71ème position et Sail's en 120ème position.
4ème étape de la Globe40
2025-01-25
La team finit à la 5ème place de cette très longue course de niveau 1.
Bravo aux PVE, aux BFC, aux INC et aux BSP. Ils ont fait très fort car tous les EZs se sont battus comme des lions.
Notre ami Gwened56-EZ demeure en tête de cette course à étapes. L'enjeu : un voyage à la Réunion :).
Gallerie d'images
L'équipe en images
Les co-équipiers
Tout ce que vous avez voulu savoir sur les membres de l'équipe
Frankyky95
e-skipper
Trimaman35
e-skipper
Bérengère (alias Trimaman35 - alias trouvé un jour par son p’tit moussaillon) est l'épouse d'un certain Becherel-EZ. Chez les EZ on navigue en famille. Son objectif : arriver devant son "marin-de-terre" et dire à ses enfants : « maman a battu papa!! ».
pogo761
e-skipper
Jérôme est l'un des plus ancien membre de la team EZ.
Leroulis
e-skipper
Christophe est un prof de physique/ch(t)mie exilé à St Malo. Il est tout naturellement fan du RC Lens (sic). Son aventure sur VR a véritablement commencé avec la Transat Jacques Vabre 2017 et lorsqu’il a rencontré son meilleure pote, Jean-Marc (alias anbae).
clemcand
e-skipper
Né à st Nazaire dans la Loire atlantique, le nom de son bateau correspond aux initiales des prénoms de ses deux filles.
Vahiné59
skippeuse irl et virtuelle
Le dernier au port paye sa tournée de Mojitos !
Hymnia
e-skipper
Normand du Calvados (Personne n'est parfait), Damien est adepte des courses à l'ancienne où ses talents de météorologue font merveilles.
Néo
e-skipper
Nils est originaire du Nord mais réside aujourd'hui en Dordogne. Il est responsable de projets informatiques. Il navigue sur VR depuis la Route du Rhum 2023.
kaly
e-skipper
Fondatrice de la team et grande prêtresse de la navigation au pif.
Du Virtuel au Réel
skipper virtuel et IRL.
Basile Buisson est officier dans la marine marchande mais pas spécialement champion de voile, ou alors en virtuel. Il a grandi à Marseille, travaille à Toulon et vit à Gap. Sélectionné parmi 10.000 candidats, il a participé à la Transat Jacques Vabre en compagnie de Kieran Le Borgne, skipper de Google Chrome.
Titoff50
e-skipper
Christophe joue sur VR depuis 2011. Il habite dans la Manche à coté de Saint-Lo. Technicien SAV en bureautique, il est tous les jours sur la route et navigue virtuellement sur son téléphone portable. Vainqueur de Transat Jacques Vabre en 2015 sur Imoca, il a aussi aligné de nombreuses bonnes places sur d'autres courses.
Marius Jacob
e-skipper
Ventrachoux au sens de l'humour redoutable.
Pyrrhus
e-skipper assidu
Denis est un gamer dans l'âme depuis tout jeune. Il a la compétition dans la peau.
coco29
e-skipper
Claude est l'un des plus ancien membre de la team EZ.
Sail's
e-skipper
Didier est fan de voile depuis son plus jeune âge. Il a débuté en dériveur X4 (ch France Junior) puis il est passé au Laser et au funboard. C'est l'un de nos experts en tactique de course.
betelgeuse orion
e-skipper
Bernard, prof de maths à la retraite, a débuté sur VR avec le VG 2008. Ses meilleurs résultats : une victoire sur la transat AG2R, un certain nombre de top 10, 9ème au VG 2012 et 22ème VG 2020.
Speeble
e-skipper
Antoine vit à Tours. Les 3 heures de transport qu'il effectue chaque jour pour rejoindre son entreprise située en région parisienne sont l’occasion pour lui de passer beaucoup de temps sur son téléphone à des horaires stratégiques. Passionné au départ par la compétition automobile, Virtual Regatta lui a offert une reconversion intéressante lorsque qu'il a arrêté ce sport. Dans la vie, Antoine est un perfectionniste maniaque mais qui de manque pas d'humour. Intégré en mars 2025 à la team EZ, il vient y chercher de la bienveillance et du partage même s'il joue exclusivement sur son iPhone et n'utilise aucun logiciel complémentaire à son routeur basique, eSail4VR. Il a conscience que VR reste un jeu et que la vraie vie est ailleurs.
R'Mionne76
Météorologue
Ingénieur météorologue et routeur d'Armel Tripon.
LaBuse974
e-skipper
Dominique est un ami de Gérard (Gameuro974). Originaire de Roanne (42), il habite à la Réunion depuis +25 ans. Passionné de voile depuis l'adolescence, il est membre du CNP (Club Nautique Portois - croisière et régates Réunion et Maurice).
BigLuD
Coach 2023-2024
The great, the tall, the BIG LuD !
M63
Coach 2025
Anything to declare ?
Mohan
e-skipper assidu
Ca va passer crème !
Speed01
e-skipper
Nicolas est l'un des plus ancien membre de la team.
Ewen_Le Pirate
e-skipper
Il a découvert ce jeu lors du VG 2020 grâce à l'école de son fils Ewen (8 ans)
C&MTotW-EZ
Admin
Tsuyosa no wake
Gwened56
e-skipper
Breton têtu
essor50
e-skipper
Michel est un ancien patron pêcheur qui vit sa retraite entre Granville (l'été) et Cannes (l'hiver). Il a fait de la voile en régate en réel (défi des ports de pêche, tour des ports de la manche, deux ou trois spi ouest france...) et en virtuel (quatre ou cinq Vendée globe...). Il pratique la pêche de loisir avec un petit bateau de 6m en alu dans les iles Chausey, Minquiers. Il est donc pricipalement en course sur VR pendant l'hiver. Comme son père avant lui, Michel est membre de la SNSM.
MAN971
e-skipper
Norman est un marin d'eau douce qui habite à ST Rose en Guadeloupe. Ancien sportif de haut niveau, il a commencé à jouer sur VR lors du VG de 2021. Après une pause de 2 ans, il est revenu sur VR lors du VG 2024. Son objectif est d'aider l'équipe au mieux est de retrouver le top 500 VSR au plus vite.
doumsau-45
e-skipper
Dominique est l'un des plus ancien membre de la team EZ.
MTZ8493
Admin
Un lion en Bourgogne, e-skipper depuis 2012 j'aime toutes les courses mais surtout celles avec des bateaux rapides
RedPepper
e-skipper
Vinz est vendéen. Il réside entre la Rochelle, les sables d’Olonne et Niort. Ne pouvant plus pratiquer le sport, il s'est rabattu sur VR en 2010. Après une longue absence, il a décidé de revenir sur VR en mars 2024 et de trouver une équipe accueillante. Son but : prendre du plaisir avant tout.
Ven2bou
e-skipper
Jean- François est présent sur VR depuis le début (2008). Suite au VG 2021, il s'est investi, notamment dans le "Challenge PDD" qu'il a remporté en 2021. Il estime aujourd'hui avoir encore une marge de progression dans le cadre de la Team EZ.
SuperZombi
e-skipper
Michel est un jeune retraité qui a découvert VR en 2006. Il a repris le jeu en 2020 puis il a intégré la team EZ en même temps que Didier (Sail's) dont il est un ami très proche.
DDeux
Développeur
e-skipper depuis 2020, je sévis surtout sur les côtières, mais tout mon art s'exprime dans le code.
juraEZic
e-skipper et secrétaire de l'association
Paradis12
Développeur
e-skippeur, plus près du code que de la côte
Sauvageon
Développeur
e-skippeur, plus près du code que de la côte
ultrine
e-skipper
Ivan est cartographe dans la vraie vie. Il habite au nord de Montpellier au pied du Larzac. Il adore la rando et le VTT. Il est impliqué au niveau fédéral dans le milieu des courses automobiles. Il est marié à une femme qui travaille dans le domaine de la restauration écologique des milieux côtiers. Il a découvert VR en 2008 pour le VG (poussé par un beau-frère breton) mais il est vraiment devenu accro en 2016. Il adore les records (3 ou 4 top 20 sur le Jules Verne).
tchoa860-EZ
e-skipper
Patience et longueur de temps font plus que force et rage
pascal83
e-skipper
Breton de l’Aber Wrac’h expatrié à Toulon.
ST AYGULF
Artiste officiel
Fidèle je demeurerai, Ami je resterai.
Lagona
Classeur officiel
Henri est l'un des plus ancien membre de la team EZ. C'est aussi notre classeur officiel et l'un des skippers les plus redoutables du challenge PDD.
Longhop
e-skipper
Né à Lorient, chef de bord sur Sun Fast 32 et Sun Legend 41, David ne navigue plus aujoud'hui qu'en virtuel.
Gogab
e-skipper
Jean-Gab habite à Rueil-Malmaison (92) dans l'ouest de Paris. Il travaille dans l'informatique et plus précisément dans la sécurité des réseaux. Son bateau virtuel a été mis à l'eau lors du VG 2008. Depuis, il participe régulièrement à de très longue courses : transats, tours du monde, etc.
Sandokan
Oracle
No risk, no fun
Commandant Mitchell
Trésorier
Make Normandie Great Again
maelian44
e-skipper
Natif de Guérande, Thierry habite en Loire Atlantique à La Chapelle des marais. Il a pratiqué la voile IRL pendant plus de 20 ans avant de passer au moteur pour pratiquer sa passion : la pêche au bar. Joueur sur VR depuis le Vendée Globe 2020, il utilise principalement le routeur VRZEN. Membre du CdC, il n'est pas avare en conseils avec les nouveaux joueurs. Il a rejoint la team EZ en mai 2025.
fitrops
e-skipper
Thierry habite à coté de Angers dans le Maine et Loire et il joue sur Virtual Regatta depuis le VG 2016.
FRBZH56
e-skipper
Arthur est un breton du Morbihan. C'est l'un des plus ancien membre de la team.
Gameuro974
Admin
e-skipper depuis 2012, j'aime toutes les courses, mais un peu moins les records
Libsea8
e-skipper
Dominique réside en Gironde, près de St Emilion (le bon vin...), mais aussi du bassin d'Arcachon, où l'eau et les plaisirs de la navigation sont omni présents. Professeur d'éducation physique dans un lycée, il aime la compétition sous toutes ses formes. Il découvert Virtual Regatta en avril 2020.
ALL4ONE
e-skipper
Grand fan du FC Nantes, Matthieu a débuté sur VR en 2009 lors du Vendée Globe. Son pseudo est celui du défi français aux séries de l’America’s Cup de 2013.
sbrindolin
e-skipper
Thomas est l'un des derniers skippers intégrés à la team EZ. Il habite en Bretagne au bord de la mer depuis 5 ans et vient de s’inscrire au permis bateau et à des cours de cata pour le printemps. Dans la vraie vie, il n'est pas très marin mais il compte s’y mettre ! Il s'est inscrit sur VR il y a plusieurs années pour s’échouer en Espagne au départ du VG 2016. En 2020 il ne savait pas ce qu’était un routeur… En 2024 il y est allé plus « sérieusement » en visant un top 10000 - objectif tout juste atteint. Thomas est arrivé dans notre team plein de questions et d'enthousiasme.
Pirond
e-skipper
Serge est aujourd'hui retraité. Il vit entre Sainte Luce sur Loire (44) et Fouesnant (29), une région dont il adore le climat. Passionné de modélisme, ie pratique très régulièrement le radio-modélisme dans le club très dynamique de sa petite ville. Il adore également la pêche au lancer en eau douce ou en mer. Il joue sur VR depuis 2008.
MaverickK
e-skipper
Ne pense pas, fonce !
ghelle-EZ
Développeur
e-skippeur, plus près du code que de la côte
BegErLan
e-skipper
Fred réside à côté de Toulouse mais il passe toutes ses vacances en Bretagne sur la côte sauvage de Quiberon.
Beausoleil29
e-skipper
Joueur sur VR depuis le Vendée Globe 2008 et membre des Green Dragons depuis la Volvo Océan Race 2009 (un des premiers groupe qui a existé sur VR), Laurent est Limousin d'adoption, Berrichon de naissance et Breton par les liens familiaux.
Becherel
e-skipper
Sur un malentendu, ça peut passer !
Bistrakou
e-skipper
Jacky, breton du Finistère, est l'un des plus ancien membre de la team EZ. Il participe au challenge PDD dont il est l'un des plus redoutables compétiteurs.
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Ecole Jacques Moreau (85)
Pédagogue
Romain est un jeune directeur d’école et enseignant en CE1/CE2 dans un petit village de Vendée. Il voue une véritable passion pour la mer et il a eu l’occasion de faire de la voile pendant son enfance et il a continué à pratiquer durant son adolescence. Il accompagne ses élèves sur Virtual Regatta dans le cadre d'ateliers pédagogiques.
PierreAntoine334
e-skipper
Pierre-Antoine est un tout nouveau joueur sur Virtual Regatta. Il a intégré la team EZ en mars 2025 et il ne souhaite qu'une seule chose : progresser encore et toujours !
Linus
e-skipper
Parce que le plus important est d'y trouver du plaisir, sinon pourquoi jouer ?
Ker Mori
e-skipper
Yann, alias Ker mori sur VR, est un Normand de 56 ans réfugié à St Nazaire avant de rejoindre le golfe du Morbihan. Il aime l’histoire antique, la pêche en mer et la détection. Il travaille actuellement à la conception de nacelles éoliennes offshores. Il est surtout l'heureux papa d’une petite fille de 5 ans qui est la véritable tactitienne de ses courses sur VR. Il a débuté sur VR fin 2024 avec le VG qu'il termine à la 93 174 ème place. Il participe depuis à de nombreuses courses car il souhaite apprendre le plus rapidement possible. Il intègre la team EZ en mars 2025 car il est un peu bavard.
NordSudEstBrest
e-skipper
De Brest même :) Beurre salé, évidemment.
anbae
e-skipper
Jean-Marc est un marin malouin qui a découvert VR lors de la route du rhum 2006. Le nom de son bateau correspond aux initiales de ses 3 enfants. Il a bien sûr l'amour des belles trajectoires mais attache plus de prix à l'échange avec les copains.
EkstaZamaro
e-skipper
Jérôme a découvert Virtual Regatta 10j après le départ du VG 2016. Il a ensuite rejoint la team EZ en renommant son bateau "Extaza Maro" (Extaz Sea en Esperanto). Tl est ensuite devenu l'un des animateurs du challenge SO puis du Challenge PDD.
ALAIZBREIZH22
e-skipper
Grand pécheur d’espadon, il a écumé toute les mers sur sa barque.
VaurienX
e-skipper
"Je fais ce que je veux avec mon Vaurien." Thibault habite à Reims dans la Marne. Il a découvert Virtual Regatta lors du Vendée Globe 2016 et la Route du Rhum 2018. Il régate en dériveur léger depuis son adolescence (Laser, Vaurien et Snipe).
nauplius
e-skipper
François est l'un des plus ancien membre de la team EZ.
tgmzns
Expertise technique après sinistre
Ingénieur aéronautique et docteur en acoustique musicale, Thomas est en cours de reconversion vers le développement informatique.
bohemien
e-skipper
Stéphane (alias STF) est l'un des plus ancien membre de la team EZ.
tigrou26120
e-skipper
Faut-il encore le présenter ?
RocketRive29
e-skipper
Champion du Finistère de planche à voile à 14 ans.
UUnet
e-skipper (ex-admin)
Si tu choques t'es un lache ! skipper irl et virtuel ;)
Thor250
e-skipper
Franck est passionné de voile virtuuelle depuis 15 ans. Après une pause de deux ans, il revient dans l'univers de VR en 2024, plus motivé que jamais pour repousser ses limites et relever de nouveaux défis. Son expérience dans le monde de VR est marquée par des succès notables : 6ème place au VG 2020, 2ème place au classement général de la Globe 2021/22. Il vit à Astugue, un charmant village des Hautes-Pyrénées qui lui permet de pratiquer son autre passion : le parapente.